Cushman & Wakefield poursuit son développement à Besançon
Développement. Pour accompagner son développement l’agence Cushman & Wakefield de Besançon a récemment déménagé dans de nouveaux locaux à Châtillon-le-Duc.
Dijonnais d’origine, Fabrice Lebreuil, consultant associé chez Cushman & Wakefield a repris il y a 11 ans le marché de l’immobilier d’entreprise bisontin. « Nous sommes trois associés à la tête de l’entreprise suite au rachat en 2008, sous licence de marque Cushman & Wakefield, de la société dijonnaise Segerinvest née en 1991 et détenu par notre ancien patron. Nous sommes présents sur trois territoires principaux : Dijon, Chalon-sur-Saône et Besançon, avec des incursions sur Dole et Beaune. Conseil en immobilier d’entreprise, nous intervenons sur quatre métiers principaux : la transaction, la gestion locative, le syndic de copropriété sur immeubles professionnels et l’expertise immobilière, explique Fabrice Lebreuil. Quand je suis arrivé sur Besançon, nous avons décidé de développer la gestion locative et l’activité de syndic. Très vite nous avons commencé à nous sentir à l’étroit dans les 27 m² de nos locaux achetés en 2018 rue Lafayette ».
Le développement du portefeuille s’accompagne ainsi de l’embauche d’une nouvelle conseillère, Julie Blanc, et du déménagement dans des locaux neuf de 100 m² à Châtillon-le-Duc. « Ce bâtiment apporte une vraie souplesse pour accueillir nos clients et dispose d’une salle de grande taille pour nos assemblées générales et nos réunions de syndic. C’est un des premiers bâtiment sur Besançon avec le label RT 2020 qui garanti un confort en inter-saison et un budget maîtrisé au niveau des charges. Produit simple et fonctionnel, il nous offre également une soupape pour un développement futur de nos activités notamment du côté de la Suisse », précise Fabrice Lebreuil qui qualifie l’évolution de son entreprise de « mesurée mais réelle » avec notamment une très bonne année 2024 où « le travail de fond et la fidélisation ont porté leurs fruits ». Il qualifie par ailleurs le marché de l’immobilier d’entreprise biontin de « relativement sain, peu offreur et raisonnable » et qui contrairement à une idée reçu est « plus cher que celui de Dijon ».