Collectivités

2,65 millions d’euros pour le futur centre de loisirs

Aménagement. Les locaux du Carmel transformés pour accueillir l’ALSH Rives-de-Saône.

Lecture 3 min
Photo du futur centre de loisirs
(Crédit : DR)

Dans le cadre de sa politique enfance/jeunesse, la Ville de Chalon organise des Accueils de Loisirs Sans Hébergement (ALSH). Aujourd’hui, trois structures (Anne-Frank, Rives-de-Saône et Est) fonctionnent à chaque période de vacances scolaires mais également les mercredis pour l’accueil des enfants âgés de 3 à 11 ans.

Si Anne-Frank bénéficie de locaux dédiés, les deux autres structures sont accueillies au sein d’établissements scolaires entraînant un partage d’espaces malaisés et des capacités d’accueil insuffisantes.

En concertation avec les partenaires institutionnels, il est apparu pertinent d’améliorer les conditions d’accueil de Rives-de-Saône en les transférant au sein des locaux du Carmel grâce à des travaux de rénovation adaptés aux spécificités du site. La première pierre administrative du chantier de transformation de ce bâtiment au profit des petits Chalonnais a été posée.


>LIRE AUSSI : Le rayonnement de Venoy passe aussi par l’Héliosports


Ce projet permet de consolider l’offre de services en direction des familles dans une zone géographique centrale, en plein cœur de ville. Ce bâtiment ancien met à disposition pour les enfants un périmètre clos et sécurisé offrant des espaces extérieurs de qualité.

Ce nouvel établissement accueillera jusqu’à 150 enfants, en complément des 50 places disponibles sur l’école maternelle Est, site qui restera dédié aux 3-6 ans. Avec Anne-Frank, cela portera à 316 places la capacité d’accueil, soit 32 places supplémentaires. En outre, ces travaux d’aménagements permettront de mettre en valeur ce site historique, avec notamment la restauration intérieure de la chapelle du Carmel (qui restera un lieu d’exposition) et le ravalement des façades.

Le montant de ces travaux est actuellement estimé à 2,65 millions d’euros. Ils seront soutenus par la Caisse d’allocations familiales (500.000 euros), le conseil départemental (500.000 euros) et l’État (387 000 euros).