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Le bus de l’apprentissage en Saône-et-Loire

Collectivités
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Promouvoir les études en alternance, voilà ce que propose le bus de l’apprentissage chaque année aux collégiens. Impulsé par le Département de Saône-et-Loire et la Chambre des métiers et de l’artisanat de Saône-et-Loire, ce dispositif vise à informer l’ensemble des élèves sur les possibilités d’orientation qui s’offrent à eux après la troisième. Avec des niveaux d’études allant du CAP au diplôme d’ingénieur, l’apprentissage permet l’égalité des chances pour tous et de se former en lien avec les attentes, dans presque tous les domaines.

Le Département de Saône-et-Loire l’a bien compris et s’emploie, depuis 2015, à ouvrir de plus en plus de postes au sein de ses directions qui comptent pas moins de 110 métiers différents. Du lundi 15 janvier au vendredi 2 février 2024, le bus se rendra dans 36 collèges de Saône-et-Loire.

Plus d’informations sur :

https://www.saoneetloire71.fr/fileadmin/Espace_presse/2024/DP-Bus_apprentissage.pdf

Les Nuits de la lecture 2024 en Saône-et-Loire

Collectivités
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Dans le département de Saône-et-Loire, les Nuits de la lecture reviennent en 2024 pour célébrer le plaisir de lire du 19 au 21 janvier. Au cœur de l’évènement, de nombreuses activités seront proposées où petits et grands pourront y participer, de quoi convier toute la famille aux festivités. Des ateliers lecture, des spectacles, des blind-test et bien d’autres activités seront centrés sur le thème du “corps” dans cette édition 2024. Un évènement culturel pour réunir les Saône-et-Loiriens férus de lecture.

Plus d’informations sur :

https://www.saoneetloire71.fr/fileadmin/Le_departement_agit/Culture/Nuits_de_la_lecture/Programme_Nuits_de_la_lecture_2024-BDSL.pdf

Le groupe poyaudin Louault acquiert l’occitan Risa

Entreprises
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Le tribunal de commerce de Paris a validé, vendredi 5 janvier, l’offre de reprise de la société Risa formulée par le Groupe Louault. Spécialisée dans la conception et la fabrication d’engins et d’équipements destinés au déploiement de réseaux aériens - grues de levage, de forage et treuils - et souterrains - trancheuses à chaînes, à roues et roues de compactage -, l’usine située à Caussade dans le Tarn-et-Garonne avait été placée en redressement judiciaire avec plan de cession en septembre dernier.

L’intérêt de l’entreprise icaunaise n’est en rien le fruit du hasard. « Cela fait plus de 30 ans que nous collaborons avec Risa, explique Stéphanie Louault, directeur financier du groupe éponyme. Notre objectif est d’accroître et de moderniser sa capacité de production, de développer des synergies à l’export et d’élaborer des économies d’échelle en appliquant les recettes qui ont forgé la solidité du groupe. » Les 50 collaborateurs de Risa ont pu être conservés lors de cette opération. En septembre dernier, l’entreprise du Sud-Ouest avait décroché le label « Origine France garantie », récompensant son savoir-faire sur le territoire national.

Discrétion et authenticité

« Depuis 1930, les activités de la famille Louault sont ancrées à Saint-Fargeau, dans l’Yonne. Au fil des années, au gré des opportunités, et de la demande du marché, de nouvelles sociétés se sont adjointes à l’historique Remorques Louault pour former le Groupe Louault, leader français dans le secteur de la fabrication et de la distribution de solutions de transport sur mesure. » Dans son fief historique de Puisaye, le groupe dirigé par Jérôme Louault possède deux entités : Remorques Louault (120 salariés, 35 millions d’euros de chiffre d’affaires), spécialisée dans la construction de remorques et de semi-remorques, et Louault Technologies et Industries (80 salariés, neuf millions d’euros de chiffre d’affaires), spécialisée dans la mécano-soudure. La holding compte, par ailleurs, une douzaine de filiales situées dans l’Ain, dans les Yvelines, en Vendée ou encore à La Réunion et près de 450 collaborateurs.

Cinquante entreprises de BFC à la Saline d’Arc-et-Senans

Entreprises
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100 dirigeants d’entreprises en binôme ont participé en décembre à la cinquième session de la Convention des entreprises pour le climat Bourgogne Franche-Comté à la Saline royale. Durant deux jours, les entreprises ont travaillé sur la question de la transformation écologique systémique, qui embarque collaborateurs, parties prenantes, acteurs du territoire, dans et hors de l’organisation. L’idée est de s’ouvrir à d’autres coopérations sur le territoire. L’objectif étant de promouvoir la coopération au service de la régénération, des humains et du territoire.

Cette session s’est tenue au coeur d’un lieu emblématique de la région en pleine réinvention autour de son nouvel aménagement paysager : le Cercle immense, inspiré par la ville idéale de son architecte Claude-Nicolas Ledoux. Ce projet transforme ainsi le site inscrit au patrimoine de l’Unesco en un îlot de biodiversité de 13 hectares et 30 jardins pour y faire vivre l’école du jardin planétaire. La Saline royale devient ainsi un laboratoire des métiers du paysage, alliant expérimentation, économie circulaire, pédagogie et haute qualité environnementale. Cet endroit, où cohabitent nature, architecture, musique, transmission, partage, collaboration, a constitué un lieu idéal pour inspirer les dirigeants.

Un observatoire du foncier économique régional

Entreprises
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OFER BFC est l’outil lancé par l’Agence économique régionale BFC pour la localisation et la planification des parcelles disponibles à l’aménagement économique. Accessible en ligne, il couvre 35.000 hectares de sites économiques, englobant 45.000 établissements, identifiés à partir des documents de planification urbaine et comprennent notamment les zones d’activités économiques pour lesquelles les EPCI exercent leurs compétences en matière de développement économique, ainsi que les zones à urbaniser à vocation économique inscrites au sein des documents d’urbanisme pour permettre une vision prospective alors que la loi zéro artificialisation nette contraint les possibilités d’utiliser de nouvelles terres agricoles notamment.

Épilepsie : deux sociétés bisontines leaders

Entreprises
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Deuxième maladie neurologique en France après la migraine, l’épilepsie est au centre des recherches de deux sociétés bisontines, Dixi Médical et Alcis, qui développent une technologie à base d’électrodes implantées dans le cerveau des patients pour détecter et éventuellement détruire le foyer épileptogène. 90% des électrodes sont assemblées manuellement dans les ateliers bisontins des deux sociétés.

(Source : bfc-industries.com).

Disparition de Sébastien Pitoizet, chargé de communication du MuséoParc

Hommes et chiffres
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Sébastien Pitoizet
(Crédit : SONIA BLANC)

Brutalement disparu la semaine dernière, Sébastien Pitoizet faisait partie depuis 2011 de l’équipe du MuséoParc Alésia.

Aux côtés de sa responsable Stéphanie Focé, il a, en qualité de webmaster et chargé de communication, accompagné l’évolution de la stratégie de la communication de l’établissement depuis son ouverture.

L’utilisation de l’IA dans l’Union réglementée

Europe
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Dans le cadre de sa stratégie numérique, l’UE souhaite réglementer l’intelligence artificielle (IA) pour garantir de meilleures conditions de développement et d’utilisation de cette technologie innovante. En avril 2021, la Commission européenne a proposé le premier cadre réglementaire de l’UE pour l’IA. Il propose que des systèmes d’IA qui peuvent être utilisés dans différentes applications soient analysés et classés en fonction du risque qu’ils présentent pour les utilisateurs. Les différents niveaux de risque impliqueront plus ou moins de réglementation.

Une fois approuvées, ces règles seront les premières au monde sur l’IA. La priorité du Parlement est de veiller à ce que les systèmes d’IA utilisés dans l’UE soient sûrs, transparents, traçables, non discriminatoires et respectueux de l’environnement. Les systèmes d’IA devraient être supervisés par des personnes plutôt que par l’automatisation, afin d’éviter des résultats néfastes. Le Parlement souhaite également établir une définition uniforme et neutre sur le plan technologique de l’IA qui pourrait être appliquée aux futurs systèmes d’IA.

Différents niveaux de risque

Les nouvelles règles établissent des obligations pour les fournisseurs et les utilisateurs en fonction du niveau de risque lié à l’IA :

  • Risque « inacceptable » : les systèmes d’IA à risque inacceptable sont des systèmes considérés comme une menace pour les personnes et seront interdits. Ils comprennent la manipulation cognitivo-comportementale de personnes ou de groupes vulnérables spécifiques comme, par exemple, des jouets activés par la voix qui encouragent les comportements dangereux chez les enfants ; un score social ; une catégorisation et une identification biométrique des personnes ; des systèmes d’identification biométrique en temps réel et à distance, tels que la reconnaissance faciale. À noter que certaines exceptions peuvent être autorisées à des fins d’application de la loi : les systèmes d’identification biométrique à distance « en temps réel » seront autorisés dans un nombre limité de cas graves, tandis que les systèmes d’identification biométrique à distance a posteriori, où l’identification a lieu après un délai important, seront autorisés à poursuivre des crimes graves et seulement après l’approbation du tribunal.
  • Risque « élevé » : les systèmes d’IA qui ont un impact négatif sur la sécurité ou les droits fondamentaux seront considérés comme à haut risque. L’IA générative, comme ChatGPT, devrait se conformer aux exigences de transparence.
  • Risque « limité » : les systèmes d’IA à risque limité doivent respecter des exigences de transparence minimales qui permettraient aux utilisateurs de prendre des décisions éclairées. Après avoir interagi avec les applications, l’utilisateur peut alors décider s’il souhaite continuer à l’utiliser. Cela inclut les systèmes d’IA qui génèrent ou manipulent du contenu image, audio ou vidéo (par exemple, les deepfakes, des contenus faux qui sont rendus crédibles par l’IA).

Le texte devra maintenant être formellement adopté par le Parlement et le Conseil pour entrer en vigueur.

La Chambre régionale des comptes a un nouveau premier conseiller du corps des magistrats financiers

Hommes et chiffres
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Photo de Georges Waszkiel
(Crédit : DR)

Par décret du Président de la République, Georges Waszkiel, ingénieur général des ponts des eaux et des forêts, a été nommé premier conseiller du corps des magistrats de la chambre régionale des comptes de Bourgogne Franche-Comté. Depuis 2019, Georges Waszkiel était directeur adjoint de la recherche et de la valorisation de l’institut Agro Dijon.

Avant cela il a occupé différents posts de direction au sein de la Région Bourgogne, puis Bourgogne Franche-Comté : Europe et international, Transport et intermodalité, transport et infrastructure... Il a également été chargé de mission Europe SGAR pour la préfecture de la région Bourgogne de 2005 à 2006 et a passé six ans (1999-2005) au ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, comme chef du bureau des relations extérieures de l’Union européenne et chargé de mission sur l’Organisation mondiale du commerce.

Le FCSM invente un nouveau modèle pour le football populaire

Collectivités
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Sochaux Vivra
(Crédit : DR)

Le FCSM sera, une fois de plus dans son histoire, à l’initiative d’un modèle original et vertueux, en se structurant avec trois entités au lieu de deux actuellement : non plus seulement l’association Football club Sochaux-Montbéliard (FCSM) et la Société anonyme sportive professionnelle (SASP), mais la SASP, une Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) et l’association FCSM, chaque forme juridique alignée avec son objet social : le football pro, la formation professionnelle, la formation des jeunes.

Ce consensus qui s’est dégagé au cours des deux derniers mois correspond à la fois aux demandes des collectivités et des investisseurs privés. Le choix de la SCIC filiale est aligné sur les compétences des collectivités sur la formation. Celles-ci n’ont pas vocation à gérer un club professionnel. En revanche, les collectivités pourront avoir un rôle de censeur au conseil d’administration de la SASP, ce qui garantit contrôle et transparence sur l’usage des fonds publics. De plus, une partie de l’argent des collectivités viendra sous forme de capital, mais aussi de titres participatifs ou de modalités similaires, avec la possibilité pour les collectivités de récupérer à terme cet argent après avoir aidé le club à se relancer. Du côté des investisseurs privés, conserver la SASP simplifie la gouvernance.

À la différence du modèle bastiais qui a inspiré le club, non seulement le nombre d’actionnaires est beaucoup plus important au FCSM, mais surtout les montants investis sont très inégaux. « Cette situation fait que la gouvernance d’une SCIC autour du principe “une personne = une voix” pose question. Il serait possible de compenser cette disparité par des pactes d’actionnaires, mais cela compliquerait la gouvernance et rendrait surtout plus difficile le recrutement et l’intégration de nouveaux investisseurs. Or, de nouveaux apports sont nécessaires pour la pérennité à long terme du FCSM. Ce que nous ne devons jamais perdre de vue », précise le club dans un communiqué. Enfin, concernant Sociochaux, l’association bénéficie de la dynamique coopérative qu’ouvre la SCIC avec collectivités, salariés, l’association FCSM et les autres associations de supporters pour porter des projets.

« Nous restons dans les deux entités SASP et SCIC, en signant un pacte d’actionnaires qui assure notre place au conseil d’administration de la SASP et la participation aux décisions clé pour la vie du club. C’est à la hauteur de la force du lien entre le club et les socios qui siégeront avec une voix délibérative dans la SASP comme dans la SCIC, assurant un droit de regard et de contrôle au-delà du seul rôle d’actionnaire. Cela reste une situation rare et dont nous devons mesurer toute la valeur : des supporters-actionnaires avec une part importante du capital et un rôle garanti à la gouvernance, explique le club. Nous avons maintenant une situation stable, nous pouvons regarder vers l’avenir et continuer à travailler à la pérennité du club, en bénéficiant d’un cadre favorable, sans parler de l’immense espoir que soulèvent les résultats sportifs et le travail du staff. C’est une étape importante dans le projet FCSM 2028, une date marquante pour le mouvement des supporters et d’un club historique, une nouvelle fois, pionnier ! ».

Deux promus côte-d’oriens dans la promotion de la Légion d’Honneur

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Photo de Frank Robine
(Crédit : Préfecture de la région BFC)

Parmi les 352 personnalités de la promotion dite du 1er janvier 2024 à être décorées de la légion d’honneur, deux promus de Côte-d’Or : Sœur Louise Duchini est faite chevalier de la légion d’honneur.

À 80 ans, elle est récompensée pour ses 58 années de service infirmier, dont près de 40 ans passés aux Hospices civils de Beaune.

Le préfet de la Côte-d’Or et préfet de région Franck Robine (photo), est, lui, décoré de la légion d’honneur au grade de chevalier pour ses trente ans de service.

Léon de Bruxelles devient Léon Fish

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Dans un décor évoquant la mer et le monde de la pêche, « Léon Fish » a pris le 28 décembre la succession du restaurant Léon de Bruxelles en proposant, outre le moule frites emblématique de la franchise, des spécialités de fruits de mer et une offre végan. Six personnes ont été recrutées à l’occasion de cette réouverture pour renforcer l’équipe existante. Le restaurant de 300 mètres carrés propose 160 couverts en intérieur et 108 couverts en extérieur à la belle saison.

Comptoir de campagne (Gevrey-Chambertin) en sursis

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Le magasin ouvert en mars 2022 à Gevrey-Chambertin comme celui de Pierreclos, en Saône-et-Loire, et 13 autres sites sont dans l’attente d’éventuels repreneurs après le placement en redressement judiciaire de la société éponyme.

Corgeco rejoint Akelys

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Répartis sur quatre sites dans l’Est de la Saône et Loire (Le Creusot, Chalon-sur-Saône, Autun et Montceau-les-Mines), les 40 collaborateurs de Corgeco ont rejoint à l’automne Sadec Akelys, groupe français d’expertise comptable, d’audit et de conseil qui dénombre aujourd’hui 560 personnes et 28 implantations en France. Corgeco affiche un chiffre d’affaires de 3,2 millions d’euros sur les mêmes activités cœur de métier que Sadec Akelys qui revendique lui 46 millions de chiffre d’affaires et 13.000 clients.

L’année 2023 en brèves (décembre)

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Beurre Noisette, la madeleine de Proust de Fabrice Gillotte.

C’est dans son atelier de fabrication de Norges-la-Ville, que Fabrice Gillotte, entouré d’une équipe placée sous la direction du chef de production Didier Fischesser, concocte les viennoiseries, pâtisseries et sandwichs qui depuis mardi 5 décembre font les yeux doux aux Dijonnais dans la cinquième boutique du MOF. « Un retour à l’enfance, raconte-t-il. J’ai grandi dans les odeurs de pâtisserie. L’atelier de mon père, c’était ma cour de récréation ». C’est un peu pour rendre hommage à cette enfance que « L’Ours » (son surnom dans la profession car il déteste les mondanités) a souhaité proposer cette nouvelle offre sucré/salé. Une offre évidemment tendue vers l’excellence.

La marque Utinam née en 1993 à Besançon fête ses 30 ans.

Pour l’occasion l’horloger fondateur de la marque Philippe Lebru sort une nouvelle série limitée de montres. Baptisée UTI 01, ces montres possèdent un boîtier en titane massif et sont équipées de mouvements France Ébauches assemblés à Morteau dans le Doubs. Elles sont vendues par souscription et fabriquées à seulement 30 exemplaires. Le concepteur d’horloge comtoises revisitées et de pendules monumentales a également présenté pour l’évènement sa Pop Up X, la nouvelle horloge murale issue de sa collection phare « Pop Up ».