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« Pas de fermeture » du canal de Bourgogne.

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Le président du Conseil départemental François Sauvadet et la directrice générale de Voies Navigables de France Cécile Avezard se sont entretenus afin d’aborder notamment l’avenir de la partie centrale du canal de Bourgogne. Compte tenu de sa faible fréquentation ces dernières années et du nombre important d’ouvrages à entretenir, VNF a engagé depuis fin 2023 une démarche de concertation sur l’équipement cofinancée par les collectivités concernées. Le département avait alors affirmé son opposition à l’hypothèse d’une fermeture du tronçon, compte tenu des enjeux qui y sont liés, notamment en termes de préservation du patrimoine et d’attractivité du territoire. François Sauvadet et Cécile Avezard se sont finalement accordés sur le fait qu’il n’y aura pas de fermeture sur le canal de Bourgogne. « Un travail commun sera conduit dans les prochains mois pour établir un protocole précis et détaillé des investissements à réaliser, écluse par écluse, bief par bief, afin de pérenniser ces ouvrages sur les moyens et longs termes. Le département est prêt à ouvrir la réflexion sur la mutualisation des moyens s’il le faut, pour pérenniser ce tronçon historique du canal de Bourgogne », explique le président François Sauvadet. Au niveau national, François Sauvadet, président de Départements de France, annonce par ailleurs qu’il travaillera avec VNF pour intégrer notamment l’identification des points singuliers du patrimoine fluvial, pour mieux les valoriser.

Crossject avance dans le développement de la version pédiatrique de Zepizure.

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La société pharmaceutique spécialisée dans les dispositifs dédiés aux situations d’urgence fondés sur sa technologie propriétaire d’auto-injecteurs sans aiguille (Zeneo), progresse dans le développement de sa version pédiatrique (Zepizure junior). Dans le cadre du plan de développement convenu avec Barda (sécurité civile aux Étas-Unis), Crossject a réalisé une étude d’échographie clinique sur 90 adultes et enfants ainsi que des études sur ses modèles expérimentaux ex-vivo qui reconstituent la peau et les couches sous-cutanées et musculaires chez l’enfant. Ces tests ont permis de calibrer avec succès la pression à exercer par les générateurs de gaz du dispositif Zeneo pour expulser la solution médicamenteuse avec la profondeur de pénétration appropriée et ont confirmé l’adéquation du dispositif dans son mode « Junior ». En outre, des études antérieures sur les facteurs humains avaient inclus un nombre important d’enfants de plus de 8 ans et avaient démontré avec succès leur capacité à utiliser efficacement l’auto-injecteur Zeneo. « La pédiatrie est stratégique pour Crossject car nous voulons faire de Zepizure la norme de soins dès le début de la maladie chronique. Nous sommes impatients de progresser avec la FDA et d’avoir des solutions cliniques concrètes à proposer à la communauté des patients pédiatriques », mentionne Patrick Alexandre, président du directoire de Crossject.

Le Projet alimentaire territorial grand bisontin reconnu.

Collectivités
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La charte du Projet alimentaire territorial de l’agglomération bisontine obtient une reconnaissance de niveau 2 par le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire. Signée en janvier 2020 par 14 partenaires, ils s’y sont engagés à mobiliser les acteurs locaux, à tous les niveaux de la filière, pour accompagner le changement des pratiques de consommation pour une alimentation équilibrée, durable et plus locale, développer, orienter la production pour mieux répondre à la demande alimentaire locale et aux enjeux environnementaux et structurer l’offre locale, développer et mobiliser les filières de transformation et de distribution.

Crossject avance dans le développement de la version pédiatrique de Zepizure.

Entreprises
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La société pharmaceutique spécialisée dans les dispositifs dédiés aux situations d’urgence fondés sur sa technologie propriétaire d’auto-injecteurs sans aiguille (Zeneo), progresse dans le développement de sa version pédiatrique (Zepizure junior). Dans le cadre du plan de développement convenu avec Barda (sécurité civile aux Étas-Unis), Crossject a réalisé une étude d’échographie clinique sur 90 adultes et enfants ainsi que des études sur ses modèles expérimentaux ex-vivo qui reconstituent la peau et les couches sous-cutanées et musculaires chez l’enfant. Ces tests ont permis de calibrer avec succès la pression à exercer par les générateurs de gaz du dispositif Zeneo pour expulser la solution médicamenteuse avec la profondeur de pénétration appropriée et ont confirmé l’adéquation du dispositif dans son mode « Junior ». En outre, des études antérieures sur les facteurs humains avaient inclus un nombre important d’enfants de plus de 8 ans et avaient démontré avec succès leur capacité à utiliser efficacement l’auto-injecteur Zeneo. « La pédiatrie est stratégique pour Crossject car nous voulons faire de Zepizure la norme de soins dès le début de la maladie chronique. Nous sommes impatients de progresser avec la FDA et d’avoir des solutions cliniques concrètes à proposer à la communauté des patients pédiatriques », mentionne Patrick Alexandre, président du directoire de Crossject.

Inventiva : une nouvelle venue au Conseil d’administration

Hommes et chiffres
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La société biopharmaceutique spécialisée dans le développement de thérapies orales pour le traitement de la stéatohépatite associée à un dysfonctionnement métabolique (Mash) a annoncé aujourd’hui la nomination de Renée Aguiar-Lucander à son conseil d’administration. Renée Aguiar-Lucander occupait le poste de directrice générale de Hansa Biopharma depuis avril 2025. Elle a auparavant été directrice générale de Calliditas Therapeutics, où elle a dirigé la transformation de la société, passant d’une société de biotechnologie émergente à un leader des maladies rares coté au Nasdaq, aboutissant à son acquisition par Asahi Kasei pour 1,1 Md $ en 2024. Avant de rejoindre Calliditas, Renée Aguiar-Lucander a occupé plusieurs postes de direction dans les domaines de l’investissement en sciences de la vie et de la finance d’entreprise, notamment en tant qu’associée et directrice des opérations chez Omega fund management, et managing director au sein d’une banque d’investissement internationale. Elle est titulaire d’un MBA de l’Insead et d’un diplôme en finance de la Stockholm School of Economics.

Patrick Molinoz : « Des signaux forts d’envie d’avancer ».

Europe
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(Crédits : DR)

En juin 2025, sera soumis au vote de l’assemblée régionale un accord de coopération avec l’Oblast et la ville ukrainienne de Vinnytsia, il sera soumis au vote de l’assemblée en juin 2025. Interrogé à ce sujet par nos confrères de TotalEU production en marge des travaux du Comité européen des régions à Bruxelles, Molinoz a souligné les perspectives fortes d’un partenariat à trois entre la Bourgogne-Franche-Comté, l’oblast de Vinnycja (Ukraine) et le land de Rhénanie-Palatinat (avec lequel la région est jumelée depuis plus de 60 ans). « Le Comité européen des régions, c’est aussi l’occasion d’échanger avec nos collègues élus des autres régions villes d’Europe et même ceux que l’on côtoie habituellement. La Bourgogne Franche-Comté est jumelée avec la Rhénanie-Palatinat depuis plus de 60 ans. J’ai pu aujourd’hui échanger avec un élu de Rhénanie-Palatinat sur une perspective de partenariat croisé avec l’Oblast de Vinnytsia (Ukraine, Ndlr). Le nouveau ministre président de Rhénanie-Palatinat a donné des signaux forts d’envie d’avancer sur un partenariat structuré avec ceux de l’Oblast de Vinnytsia. Et comme la région Bourgogne Franche-Comté va voter ce partenariat le 27 juin prochain, et bien nous avons pu débuter ces discussions et peut-être avec comme objectif à la fin d’avoir un accord à trois. La Rhénanie-Palatinat, l’Allemagne, la France, la Bourgogne Franche-Comté et l’Ukraine, l’Oblast de Vinnytsia. Tout ça dans cette perspective de soutien, d’appui à l’Ukraine en général vers le chemin d’entrée dans l’Union européenne que nous appelons de nos voeux ».

Source : TotalEU production

Sector Alarm s’étend en BFC

Entreprises
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Le numéro deux européen de la télésurveillance ouvre sa 4e agence en BFC. Après Auxerre, Besançon et Dijon, Belfort est la quatrième agence Sector Alarm à ouvrir dans la région. La société qui propose des solutions d’alarmes sur mesure (intrusion, incendie, urgence) pour les particuliers et les professionnels est présente depuis 2019 en BFC.
Depuis sa création il y a 30 ans en Norvège, l’entreprise compte plus de 3.700 collaborateurs opérant dans huit pays européens. Avec 54 agences sur tout le territoire hexagonal, Sector Alarm France représente 26% des nouveaux clients du groupe en 2024 et compte plus de 1.000 collaborateurs.

Le Medef Côte-d’Or et Urbanomy aident les entreprises à la transition écologique.

Entreprises
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Le syndicat patronal Medef 21, associé à Urbanomy(filiale de conseil stratégique énergie et climat du groupe EDF) accompagnent les entreprises désireuses d’engager une politique de transition écologique avec le dispositif Act de l’Ademe, adapté à chaque niveau de maturité des sociétés. Act regroupe quatre accompagnements à la décarbonation, développés par l’Ademe : Act Pas à Pas (élaboration de stratégies bas-carbone) ; Act Coaching financier (estimation de la rentabilité des projets) ; Act Évaluation (test de robustesse des stratégies) et Act Opportunité (optimisation du mix énergétique industriel , quel est le planning ?) Les études, réalisées par Urbanomy, sont prises en charge par l’Ademe entre 60% et 80% du coût total de l’opération (selon la taille de votre entreprise). Le reste à charge est de 3.000 € à moins de 10.000€ par entreprise. Le dossier sera soumis à l’Ademe au plus tard début juillet 2025 pour un démarrage en octobre 2025. Les entreprises sont invitées à faire part de leur candidature auprès du Medef Côte-d’Or avant le 30 juin 2025 sur l’adresse dédiée : hbourguignon@medf21.fr

La défense en BFC

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La région BFC et la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, en partenariat avec l’AER BFC, Le Grand Belfort, l’ADNFC et la French Tech BFC, ont organisé une journée découverte des opportunités de marchés dans l’industrie de la Défense, le jeudi 5 juin, au au 1er régiment d’artillerie de Bourogne (90), en présence de Marie-Guite Dufay, présidente de la région BFC et de Cédric Perrin, sénateur du Territoire de Belfort, président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat.

L’objectif de cette journée, était de favoriser les rencontres entre les entreprises innovantes et les acteurs majeurs de la défense afin d’accélérer leur accès aux marchés et aux projets stratégiques du secteur. Des experts sont intervenus pour décrypter les enjeux actuels, les besoins émergents et les dispositifs d’accompagnement mis en place pour les entreprises intéressées par la filière défense.

Les participants ont également eu l’opportunité de rencontrer les acheteurs et donneurs d’ordre du secteur de la défense. Cette journée organisée notamment avec la participation des pôles de compétitivité PMT, Pôle Véhicule du Futur, Nuclear Valley, et de Eden, Aeriades et du Medef BFC, intervient alors que la région BFC vient de signer une convention avec le ministère des Armées qui vise à mobiliser les ressources nécessaires au développement de l’activité défense des entreprises sur le territoire, et à renforcer la cohésion sociale autour des forces armées, particulièrement dans la perspective de la transformation de la Base Aérienne 116 de Luxeuil-les-Bains.

Une nouvelle présidente pour le conseil d’administration de la Banque populaire BFC et Pays de l’Ain.

Hommes et chiffres
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(Crédits : BP BFC ET PAYS DE L’AIN)

Experte-comptable basée à Mâcon dont elle est originaire, Marie Savin a été élue présidente du conseil d’administration de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain, succédant ainsi à Michel Grass. Elle était administratrice de la banque depuis plus de 12 ans et présidente du Comité des risques. Première femme à exercer cette fonction au sein de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain, Marie Savin fait partie des vingt associés d’Auditis, cabinet pluridisciplinaire de 130 salariés, répartis sur huit sites en Bourgogne-Franche-Comté. « C’est important que les banques coopératives aient des conseils d’administration qui reflètent la diversité de leurs clients et de leurs territoires. Le nôtre en est un parfait exemple, grâce à l’effort qu’a fait Michel Grass pour féminiser ce conseil notamment. Le conseil d’administration m’a donné sa confiance et j’en suis très honorée. J’ai toujours été très investie dans les structures auxquelles je participe, que ce soit dans mon entreprise ou dans les associations dont je fais partie. J’ai besoin d’être active et de me sentir utile, indique Marie Savin. Les clients sociétaires de nos neuf départements sont utilisateurs des services de la banque dont ils sont propriétaires. C’est très engageant comme modèle. J’aimerais le faire savoir davantage. »

Fermeture de la route-barrage du lac de Pannecière.

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Dans le cadre de travaux de rénovation indispensables, le pont-route du barrage du lac de Pannecière sera fermé à toute circulation (motorisée, piétonne, cycliste, etc.) jusqu’au 13 octobre 2025. Un itinéraire de déviation sera mis en place pendant toute la durée du chantier, via le pont du Ravin du Chêne. Les travaux de grande ampleur, d’un montant de 1,65 M€, comprennent la dépose du revêtement existant, des travaux d’étanchéité, la réfection complète de la chaussée et la création d’une vélo-voie.

Trois chapelles de la Cathédrale Saint-Étienne en cours de restauration.

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Depuis la fin du mois d’avril, des échafaudages ont été élevés autour des toitures de trois chapelles de l’édifice auxerrois : les chapelles des Évêques, de Sainte-Catherine et du Sacré-Coeur. En état avancé de délabrement, ces dernières font l’objet d’opérations de réhabilitation importantes dont le coût est estimé à 300.000 €. « La reprise d’une gargouille sur la couverture sommitale, dont la tête était cassée, et la sécurisation de la cour anglaise donnant sur la crypte sont également prévues », a précisé Nordine Bouchrou, adjoint au maire de la ville d’Auxerre en charge du dossier, à nos confrères de L’Yonne Républicaine. La livraison est prévue à la fin de cette année qui devrait aussi marquer le coup d’envoi des travaux de restauration de l’église Saint-Pierre.

La natalité à son plus bas niveau historique en BFC

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(Crédits : INSEE BFC)

En 2024, 22.500 bébés sont nés en Bourgogne-Franche-Comté. C’est le plus faible nombre de naissances enregistrées dans la région depuis cinquante ans. Cette baisse s’inscrit dans le long terme : elle est continue depuis le début des années 2010. Par rapport au point haut du début des années 2000, près de 10.000 naissances de moins par an ont été enregistrées en Bourgogne-Franche-Comté. Ce mouvement n’est pas spécifique à la région mais y est plus marqué : en un quart de siècle, le nombre de nouveaux-nés a diminué de 31,8 %, contre 18,8 % en France métropolitaine.

De moins en moins de nouvelles mères

Tous les départements de la région sont concernés par cette diminution. Toutefois, elle est particulièrement forte dans ceux où le vieillissement est le plus marqué. Ainsi le nombre de naissances a diminué de presque 40 % dans le Jura et en Haute-Saône. Avec la Nièvre et le Territoire de Belfort, ils figurent parmi les dix départements métropolitains pour lesquels la baisse est la plus forte.

Le nombre de premiers enfants a nettement diminué, alors qu’il représentait il y a encore 15 ans près de la moitié des naissances. Il a baissé de 38 % en 25 ans, et a même chuté de moitié en Haute-Saône. Le nombre de deuxièmes naissances dans la région s’est également réduit mais de façon moindre (-19 %), sauf dans le Jura et en Côte-d’Or où il s’est stabilisé. Il y a désormais plus de deuxièmes naissances que de premières, en Côte-d’Or et dans le Doubs.

Source : Insee BFC

AVS communication accompagne la Jeune chambre économique.

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La Jeune chambre économique de Dijon (JCE Dijon) et AVS Communication, entreprise locale spécialisée dans la communication visuelle et l’affichage dynamique, officialisent un partenariat stratégique « au service de l’innovation citoyenne et du rayonnement économique dijonnais ». La signature a eu lieu le mercredi 21 mai, entre Arnaud Bordes, président de la JCE Dijon (à gauche), et Arthur Deballon, dirigeant d’AVS Communication (à droite).

Grâce à ce partenariat, AVS Communication mettra à disposition de la JCE Dijon des solutions de communication innovantes pour renforcer la visibilité de ses actions, notamment à travers des supports et signalétiques déployés lors d’événements. « ce partenariat démontre que l’on peut allier business et engagement citoyen pour le développement social et économique de notre territoire », selon Arnaud Bordes.

Selon Arthur Deballon, « s’associer à la Jeune chambre économique de Dijon, c’est soutenir une génération d’acteurs engagés qui inventent les solutions de demain. Nous croyons dans leur capacité à faire bouger les lignes et sommes fiers d’accompagner concrètement leurs initiatives ».+

(Crédits : JCE)

Satt Sayens s’associe à Orinova

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Depuis 2019, l’agence de développement économique Satt Sayens soutient le travail de recherche mené au sein de l’Université de Franche-Comté (Université Marie et Louis Pasteur) des travaux d’Arnaud Beduneau, professeur de pharmacie, de Stéphane Roux, professeur de chimie, et de Gautier Laurent, docteur en chimie, au sein du laboratoire Chrono-environnement, pour traiter certains cancers radiorésistants comme le glioblastome. L’innovation consiste en un traitement à base de nanoparticules d’or et de molécules de chimiothérapie permettant de coupler une chimiothérapie à une radiothérapie guidée par imagerie. Orinova a été créée fin 2024 de la rencontre entre l’équipe de recherche et Jean-Marc Zeil, entrepreneur expérimenté et aujourd’hui son PDG. La Satt Sayens poursuit son engagement en soutenant le développement d’Orinova aux côtés des co-fondateurs et entre à son capital. « Nous sommes très fiers au sein de Sayens d’avoir permis, aux côtés des équipes de recherche de l’Université Marie et Louis Pasteur, l’émergence et le transfert d’une innovation majeure pour répondre aux enjeux de la lutte contre le cancer. Je tiens à souligner le soutien des partenaires régionaux et acteurs de l’innovation (Déca BFC, la Région Bourgogne-Franche-Comté, Bpifrance…) qui ont été également déterminants pour aider à la création de cette start-up », précise Romain Liege, président de la Satt Sayens.