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Nouveau préfet dans le doubs

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Photo de Rémi Bastille
(Crédit : Rémi Bastille)

Rémi Bastille a été nommé Préfet du Doubs en conseil des ministres le 12 janvier. Il remplace Jean-François Colombet, nommé en juin 2021. Rémi Bastille était depuis le 27 septembre 2023 directeur adjoint par intérim du cabinet du ministre de l’intérieur et des outre-mer. Diplômé de l’ENA, l’école nationale d’administration de Strasbourg en 2011, il est né à Pontarlier dans le Doubs.

Âgé de 41 ans, il a auparavant été nommé en décembre 2022, préfet chargé d’une mission de service public auprès du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie. En 2017, il était conseiller chargé des affaires régaliennes au cabinet de la ministre des Outre-mer. La même année, il a géré les personnels à la Préfecture de police de Paris. Il a commencé sa carrière dans les préfectures de Savoie et Corse comme directeur de cabinet.

Réseau Entreprendre Bourgogne : Magie, folie, convivialité

Collectivités
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L’hôtel La Cloche accueillait mardi 16 janvier les vœux de l’association d’aide à l’entrepreneuriat Réseau Entreprendre Bourgogne. Des vœux placés sous la trilogie « magie, folie, convivialité » par le président Jean-Philippe Guyot : « il ne s’agit pas vraiment de “magie”, s’est amusé ce dernier. Car la magie c’est de la manipulation, c’est de l’illusion. Il faut l’écrire différemment : s’il y a de la magie, c’est que “l’âme agit”. C’est l’âme du porteur et l’âme de son accompagnateur. Et la magie opère à ce moment précis où l’on se voue corps et âme aux projets de création ou de reprise ».

Jean-Philippe Guyot a ensuite remercié les 215 membres de l’association « d’être un peu fêlés. Je ne résiste pas à citer Michel Audiard (la citation est apocryphe, ndlr) : “Heureux les fêlés car ils laissent passer la lumière”. Je pense que cette phrase reflète très bien la posture chez Réseau Entreprendre Bourgogne. En agissant collectivement sur les fêlures, on devient tous un peu comme ces artisans japonais qui réparent les poteries fendues avec de la laque mêlée de poudre d’or. On me demande souvent : mais comment faites-vous pour avoir 95% de pérennité à trois ans ? Je pense qu’il faut aller chercher du côté de cette pratique. Nos actions s’apparentent à l’or qui répare et rend plus fort. Soyez en laissant agir vos âmes, soyez fêlés et déposez de l’or dans les projets de vos lauréats, soyez les artisans de la convivialité entre nos membres et les lauréats », a conclu Jean-Philippe Guyot. En 2023, l’association revendique 24 lauréats accompagnés, 500 créations d’emploi dont 320 immédiats et 180 à trois ans, 389.000 euros de prêts d’honneur pour 12 millions d’euros de prêts bancaires associés, 215 membres bénévoles et 3.800 heures de bénévolat.

L’Agence régionale de santé (ARS) Bourgogne Franche-Comté devient ambassadrice de « Mon espace santé »

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Mercredi 10 janvier, le directeur général de l’ARS BFC, Jean-Jacques Coiplet a signé la charte officialisant l’engagement de l’agence dans le réseau des ambassadeurs « Mon espace santé ». Pour rappel, ce dispositif a été lancé en janvier 2022, véritable carnet de santé numérique, il permet à chacun de stocker et de partager ses données comme ses documents de santé en toute sécurité, pour être mieux soigné. « Or, si aujourd’hui 95 % des assurés de Bourgogne Franche-Comté dispose d’un tel espace, seulement 15 % l’ont réellement activé », affirme Jean-Jacques Coiplet d’où la nécessité de promouvoir davantage cet outil numérique aussi bien auprès des usagers que des professionnels de santé. C’est la mission du réseau des ambassadeurs porté par le Groupement régional d’appui au développement de la e-santé (Grades) en partenariat avec l’ARS et la Direction de la coordination de la gestion du risque (DCGDR) de l’assurance maladie de BFC.

Lors de cette journée, l’ARS BFC n’était pas la seule structure signataire puisque douze autres acteurs de la santé en région ont également « joué » du stylo, comme les CHU de Dijon et de Besançon, l’Union régionale des professionnels de santé avec notamment les masseurs-kinésithérapeutes et les pharmaciens, la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne privés solidaires (FEHAP), l’Union régionale interfédérale des organismes privés sanitaires et sociaux (Uriopss), la mutualité française comtoise ou encore l’Aide à domicile en milieu rural (ADMR) de Haute-Saône.

Chaque signataire s’est engagé à mettre en avant ce service qui « redonne la main au citoyen sur sa santé, selon Jean-Jacques Coiplet. En effet, c’est le patient qui décide notamment avec quels professionnels de santé il souhaite partager ses données. Ces derniers peuvent alors accéder à l’espace santé de leur patient et l’alimenter pour faciliter leur suivi médical et éviter des examens déjà réalisés par exemple ». Pour donner le La, l’ensemble des nouveaux ambassadeurs ont acté de rendre actif les espaces santé de tous leurs salariés d’ici à un an, ce qui pour l’ARS représente 450 personnes.

« L’autre bataille a mener après celle de l’activation est celle de l’alimentation, poursuit le directeur général de l’ARS BFC. En Bourgogne Franche-Comté, six millions de documents (ordonnances, résultats de prise de sang, comptes-rendus de radiologie…) ont été enregistrés par les établissements et les professionnels de santé, avec une accélération du phénomène sur 2023. Nous avons plus de 50 % des médecins du territoire qui utilisent et alimentent le dispositif. Je suis convaincu que nous pouvons faire plus et notamment auprès des personnes les plus éloignées du numérique, pour lesquelles un accompagnement spécifique est proposé par le réseau des ambassadeurs ».

Le bus de l’apprentissage en Saône-et-Loire

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Promouvoir les études en alternance, voilà ce que propose le bus de l’apprentissage chaque année aux collégiens. Impulsé par le Département de Saône-et-Loire et la Chambre des métiers et de l’artisanat de Saône-et-Loire, ce dispositif vise à informer l’ensemble des élèves sur les possibilités d’orientation qui s’offrent à eux après la troisième. Avec des niveaux d’études allant du CAP au diplôme d’ingénieur, l’apprentissage permet l’égalité des chances pour tous et de se former en lien avec les attentes, dans presque tous les domaines.

Le Département de Saône-et-Loire l’a bien compris et s’emploie, depuis 2015, à ouvrir de plus en plus de postes au sein de ses directions qui comptent pas moins de 110 métiers différents. Du lundi 15 janvier au vendredi 2 février 2024, le bus se rendra dans 36 collèges de Saône-et-Loire.

Plus d’informations sur :

https://www.saoneetloire71.fr/fileadmin/Espace_presse/2024/DP-Bus_apprentissage.pdf

Les Nuits de la lecture 2024 en Saône-et-Loire

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Dans le département de Saône-et-Loire, les Nuits de la lecture reviennent en 2024 pour célébrer le plaisir de lire du 19 au 21 janvier. Au cœur de l’évènement, de nombreuses activités seront proposées où petits et grands pourront y participer, de quoi convier toute la famille aux festivités. Des ateliers lecture, des spectacles, des blind-test et bien d’autres activités seront centrés sur le thème du “corps” dans cette édition 2024. Un évènement culturel pour réunir les Saône-et-Loiriens férus de lecture.

Plus d’informations sur :

https://www.saoneetloire71.fr/fileadmin/Le_departement_agit/Culture/Nuits_de_la_lecture/Programme_Nuits_de_la_lecture_2024-BDSL.pdf

Le groupe poyaudin Louault acquiert l’occitan Risa

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Le tribunal de commerce de Paris a validé, vendredi 5 janvier, l’offre de reprise de la société Risa formulée par le Groupe Louault. Spécialisée dans la conception et la fabrication d’engins et d’équipements destinés au déploiement de réseaux aériens - grues de levage, de forage et treuils - et souterrains - trancheuses à chaînes, à roues et roues de compactage -, l’usine située à Caussade dans le Tarn-et-Garonne avait été placée en redressement judiciaire avec plan de cession en septembre dernier.

L’intérêt de l’entreprise icaunaise n’est en rien le fruit du hasard. « Cela fait plus de 30 ans que nous collaborons avec Risa, explique Stéphanie Louault, directeur financier du groupe éponyme. Notre objectif est d’accroître et de moderniser sa capacité de production, de développer des synergies à l’export et d’élaborer des économies d’échelle en appliquant les recettes qui ont forgé la solidité du groupe. » Les 50 collaborateurs de Risa ont pu être conservés lors de cette opération. En septembre dernier, l’entreprise du Sud-Ouest avait décroché le label « Origine France garantie », récompensant son savoir-faire sur le territoire national.

Discrétion et authenticité

« Depuis 1930, les activités de la famille Louault sont ancrées à Saint-Fargeau, dans l’Yonne. Au fil des années, au gré des opportunités, et de la demande du marché, de nouvelles sociétés se sont adjointes à l’historique Remorques Louault pour former le Groupe Louault, leader français dans le secteur de la fabrication et de la distribution de solutions de transport sur mesure. » Dans son fief historique de Puisaye, le groupe dirigé par Jérôme Louault possède deux entités : Remorques Louault (120 salariés, 35 millions d’euros de chiffre d’affaires), spécialisée dans la construction de remorques et de semi-remorques, et Louault Technologies et Industries (80 salariés, neuf millions d’euros de chiffre d’affaires), spécialisée dans la mécano-soudure. La holding compte, par ailleurs, une douzaine de filiales situées dans l’Ain, dans les Yvelines, en Vendée ou encore à La Réunion et près de 450 collaborateurs.

Cinquante entreprises de BFC à la Saline d’Arc-et-Senans

Entreprises
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100 dirigeants d’entreprises en binôme ont participé en décembre à la cinquième session de la Convention des entreprises pour le climat Bourgogne Franche-Comté à la Saline royale. Durant deux jours, les entreprises ont travaillé sur la question de la transformation écologique systémique, qui embarque collaborateurs, parties prenantes, acteurs du territoire, dans et hors de l’organisation. L’idée est de s’ouvrir à d’autres coopérations sur le territoire. L’objectif étant de promouvoir la coopération au service de la régénération, des humains et du territoire.

Cette session s’est tenue au coeur d’un lieu emblématique de la région en pleine réinvention autour de son nouvel aménagement paysager : le Cercle immense, inspiré par la ville idéale de son architecte Claude-Nicolas Ledoux. Ce projet transforme ainsi le site inscrit au patrimoine de l’Unesco en un îlot de biodiversité de 13 hectares et 30 jardins pour y faire vivre l’école du jardin planétaire. La Saline royale devient ainsi un laboratoire des métiers du paysage, alliant expérimentation, économie circulaire, pédagogie et haute qualité environnementale. Cet endroit, où cohabitent nature, architecture, musique, transmission, partage, collaboration, a constitué un lieu idéal pour inspirer les dirigeants.

Un observatoire du foncier économique régional

Entreprises
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OFER BFC est l’outil lancé par l’Agence économique régionale BFC pour la localisation et la planification des parcelles disponibles à l’aménagement économique. Accessible en ligne, il couvre 35.000 hectares de sites économiques, englobant 45.000 établissements, identifiés à partir des documents de planification urbaine et comprennent notamment les zones d’activités économiques pour lesquelles les EPCI exercent leurs compétences en matière de développement économique, ainsi que les zones à urbaniser à vocation économique inscrites au sein des documents d’urbanisme pour permettre une vision prospective alors que la loi zéro artificialisation nette contraint les possibilités d’utiliser de nouvelles terres agricoles notamment.

Épilepsie : deux sociétés bisontines leaders

Entreprises
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Deuxième maladie neurologique en France après la migraine, l’épilepsie est au centre des recherches de deux sociétés bisontines, Dixi Médical et Alcis, qui développent une technologie à base d’électrodes implantées dans le cerveau des patients pour détecter et éventuellement détruire le foyer épileptogène. 90% des électrodes sont assemblées manuellement dans les ateliers bisontins des deux sociétés.

(Source : bfc-industries.com).

Disparition de Sébastien Pitoizet, chargé de communication du MuséoParc

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Sébastien Pitoizet
(Crédit : SONIA BLANC)

Brutalement disparu la semaine dernière, Sébastien Pitoizet faisait partie depuis 2011 de l’équipe du MuséoParc Alésia.

Aux côtés de sa responsable Stéphanie Focé, il a, en qualité de webmaster et chargé de communication, accompagné l’évolution de la stratégie de la communication de l’établissement depuis son ouverture.

L’utilisation de l’IA dans l’Union réglementée

Europe
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Dans le cadre de sa stratégie numérique, l’UE souhaite réglementer l’intelligence artificielle (IA) pour garantir de meilleures conditions de développement et d’utilisation de cette technologie innovante. En avril 2021, la Commission européenne a proposé le premier cadre réglementaire de l’UE pour l’IA. Il propose que des systèmes d’IA qui peuvent être utilisés dans différentes applications soient analysés et classés en fonction du risque qu’ils présentent pour les utilisateurs. Les différents niveaux de risque impliqueront plus ou moins de réglementation.

Une fois approuvées, ces règles seront les premières au monde sur l’IA. La priorité du Parlement est de veiller à ce que les systèmes d’IA utilisés dans l’UE soient sûrs, transparents, traçables, non discriminatoires et respectueux de l’environnement. Les systèmes d’IA devraient être supervisés par des personnes plutôt que par l’automatisation, afin d’éviter des résultats néfastes. Le Parlement souhaite également établir une définition uniforme et neutre sur le plan technologique de l’IA qui pourrait être appliquée aux futurs systèmes d’IA.

Différents niveaux de risque

Les nouvelles règles établissent des obligations pour les fournisseurs et les utilisateurs en fonction du niveau de risque lié à l’IA :

  • Risque « inacceptable » : les systèmes d’IA à risque inacceptable sont des systèmes considérés comme une menace pour les personnes et seront interdits. Ils comprennent la manipulation cognitivo-comportementale de personnes ou de groupes vulnérables spécifiques comme, par exemple, des jouets activés par la voix qui encouragent les comportements dangereux chez les enfants ; un score social ; une catégorisation et une identification biométrique des personnes ; des systèmes d’identification biométrique en temps réel et à distance, tels que la reconnaissance faciale. À noter que certaines exceptions peuvent être autorisées à des fins d’application de la loi : les systèmes d’identification biométrique à distance « en temps réel » seront autorisés dans un nombre limité de cas graves, tandis que les systèmes d’identification biométrique à distance a posteriori, où l’identification a lieu après un délai important, seront autorisés à poursuivre des crimes graves et seulement après l’approbation du tribunal.
  • Risque « élevé » : les systèmes d’IA qui ont un impact négatif sur la sécurité ou les droits fondamentaux seront considérés comme à haut risque. L’IA générative, comme ChatGPT, devrait se conformer aux exigences de transparence.
  • Risque « limité » : les systèmes d’IA à risque limité doivent respecter des exigences de transparence minimales qui permettraient aux utilisateurs de prendre des décisions éclairées. Après avoir interagi avec les applications, l’utilisateur peut alors décider s’il souhaite continuer à l’utiliser. Cela inclut les systèmes d’IA qui génèrent ou manipulent du contenu image, audio ou vidéo (par exemple, les deepfakes, des contenus faux qui sont rendus crédibles par l’IA).

Le texte devra maintenant être formellement adopté par le Parlement et le Conseil pour entrer en vigueur.

La Chambre régionale des comptes a un nouveau premier conseiller du corps des magistrats financiers

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Photo de Georges Waszkiel
(Crédit : DR)

Par décret du Président de la République, Georges Waszkiel, ingénieur général des ponts des eaux et des forêts, a été nommé premier conseiller du corps des magistrats de la chambre régionale des comptes de Bourgogne Franche-Comté. Depuis 2019, Georges Waszkiel était directeur adjoint de la recherche et de la valorisation de l’institut Agro Dijon.

Avant cela il a occupé différents posts de direction au sein de la Région Bourgogne, puis Bourgogne Franche-Comté : Europe et international, Transport et intermodalité, transport et infrastructure... Il a également été chargé de mission Europe SGAR pour la préfecture de la région Bourgogne de 2005 à 2006 et a passé six ans (1999-2005) au ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, comme chef du bureau des relations extérieures de l’Union européenne et chargé de mission sur l’Organisation mondiale du commerce.

Le FCSM invente un nouveau modèle pour le football populaire

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Sochaux Vivra
(Crédit : DR)

Le FCSM sera, une fois de plus dans son histoire, à l’initiative d’un modèle original et vertueux, en se structurant avec trois entités au lieu de deux actuellement : non plus seulement l’association Football club Sochaux-Montbéliard (FCSM) et la Société anonyme sportive professionnelle (SASP), mais la SASP, une Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) et l’association FCSM, chaque forme juridique alignée avec son objet social : le football pro, la formation professionnelle, la formation des jeunes.

Ce consensus qui s’est dégagé au cours des deux derniers mois correspond à la fois aux demandes des collectivités et des investisseurs privés. Le choix de la SCIC filiale est aligné sur les compétences des collectivités sur la formation. Celles-ci n’ont pas vocation à gérer un club professionnel. En revanche, les collectivités pourront avoir un rôle de censeur au conseil d’administration de la SASP, ce qui garantit contrôle et transparence sur l’usage des fonds publics. De plus, une partie de l’argent des collectivités viendra sous forme de capital, mais aussi de titres participatifs ou de modalités similaires, avec la possibilité pour les collectivités de récupérer à terme cet argent après avoir aidé le club à se relancer. Du côté des investisseurs privés, conserver la SASP simplifie la gouvernance.

À la différence du modèle bastiais qui a inspiré le club, non seulement le nombre d’actionnaires est beaucoup plus important au FCSM, mais surtout les montants investis sont très inégaux. « Cette situation fait que la gouvernance d’une SCIC autour du principe “une personne = une voix” pose question. Il serait possible de compenser cette disparité par des pactes d’actionnaires, mais cela compliquerait la gouvernance et rendrait surtout plus difficile le recrutement et l’intégration de nouveaux investisseurs. Or, de nouveaux apports sont nécessaires pour la pérennité à long terme du FCSM. Ce que nous ne devons jamais perdre de vue », précise le club dans un communiqué. Enfin, concernant Sociochaux, l’association bénéficie de la dynamique coopérative qu’ouvre la SCIC avec collectivités, salariés, l’association FCSM et les autres associations de supporters pour porter des projets.

« Nous restons dans les deux entités SASP et SCIC, en signant un pacte d’actionnaires qui assure notre place au conseil d’administration de la SASP et la participation aux décisions clé pour la vie du club. C’est à la hauteur de la force du lien entre le club et les socios qui siégeront avec une voix délibérative dans la SASP comme dans la SCIC, assurant un droit de regard et de contrôle au-delà du seul rôle d’actionnaire. Cela reste une situation rare et dont nous devons mesurer toute la valeur : des supporters-actionnaires avec une part importante du capital et un rôle garanti à la gouvernance, explique le club. Nous avons maintenant une situation stable, nous pouvons regarder vers l’avenir et continuer à travailler à la pérennité du club, en bénéficiant d’un cadre favorable, sans parler de l’immense espoir que soulèvent les résultats sportifs et le travail du staff. C’est une étape importante dans le projet FCSM 2028, une date marquante pour le mouvement des supporters et d’un club historique, une nouvelle fois, pionnier ! ».

Deux promus côte-d’oriens dans la promotion de la Légion d’Honneur

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Photo de Frank Robine
(Crédit : Préfecture de la région BFC)

Parmi les 352 personnalités de la promotion dite du 1er janvier 2024 à être décorées de la légion d’honneur, deux promus de Côte-d’Or : Sœur Louise Duchini est faite chevalier de la légion d’honneur.

À 80 ans, elle est récompensée pour ses 58 années de service infirmier, dont près de 40 ans passés aux Hospices civils de Beaune.

Le préfet de la Côte-d’Or et préfet de région Franck Robine (photo), est, lui, décoré de la légion d’honneur au grade de chevalier pour ses trente ans de service.

Léon de Bruxelles devient Léon Fish

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Dans un décor évoquant la mer et le monde de la pêche, « Léon Fish » a pris le 28 décembre la succession du restaurant Léon de Bruxelles en proposant, outre le moule frites emblématique de la franchise, des spécialités de fruits de mer et une offre végan. Six personnes ont été recrutées à l’occasion de cette réouverture pour renforcer l’équipe existante. Le restaurant de 300 mètres carrés propose 160 couverts en intérieur et 108 couverts en extérieur à la belle saison.