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Président d’Orvitis, François-Xavier Dugourd a été élu fin janvier à la vice-présidence de la Fédération nationale des Offices publics de l’habitat. Regroupant 220 offices et représentant 2,4 millions de logements, cette organisation professionnelle est un interlocuteur majeur des pouvoirs publics sur la question du logement, et en particulier du logement social.

Retour aux sources pour Caroline Astier qui revient à Besançon, au siège social de la CCI Saône-Doubs où elle a été nommée à la direction générale après avoir exercé les fonctions de directrice de l’antenne de Bruxelles puis de directrice de l’équipe CCI International pendant une dizaine d’années pour le compte de la CCI du Doubs et la CCI Franche-Comté. À la tête d’une équipe pluridisciplinaire de 80 collaborateurs, elle a désormais la charge de six sites répartis entre le Doubs et la Haute-Saône. De Besançon à Montbéliard, de Gray à Vesoul, de Lure à Pontarlier, elle se fixe l’objectif de porter les ambitions des chefs d’entreprise élus en novembre dernier. Au-delà, elle entend diriger une CCI dynamique et réactive qui se positionne au service des entreprises, des territoires mais aussi des jeunes.

Le Festival Grandes Heures Nature 2022 se déroulera les 24, 25 et 26 juin prochains. Trois jours dédiés aux activités outdoor, avec un seul objectif : le sport plaisir, à pratiquer seul, en famille ou entre amis. Au programme, un village d’animations et d’exposants, des shows sportifs spectaculaires, des évènements ouverts à tous, bref, les ingrédients qui ont fait le succès des éditions 2019 et 2021, attirant de nombreux visiteurs. Cette année, plusieurs évènements sportifs de niveaux différents sont proposés pour répondre encore à tous les goûts et à toutes les envies, dont plusieurs nouveautés avec le Grand Tour VTT et la Rando Kayak. Reviennent bien sûr l’Ekiden et le Raid X’Périences. Les inscriptions en ligne sont ouvertes sur le site  : grandes-heures-nature.fr

Les collectivités locales ont un rôle particulier à jouer. Elles disposent notamment du levier économique de la commande publique et peuvent aussi agir directement sur la formation des professionnels (petite enfance, santé, matériaux utilisés au quotidien etc.). À la suite du premier colloque « Villes et territoires sans perturbateurs endocriniens » (VTSPE) en octobre 2017 à Paris, une charte du Réseau environnement santé (RES) est proposée aux collectivités locales pour développer les bonnes pratiques afin de réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens. La charte VTSPE n’est pas un label mais un engagement sur cinq points (phytosanitaire, alimentation, formation des professionnels, marchés publics, information à la population).

André Accary, président du département de Saône-et-Loire et Catherine Amiot, vice-présidente chargée de la transition écologique ont signé la charte « Villes et territoires sans perturbateurs endocriniens » le 9 mars en présence d’André Cicolella, président du RES. En la signant et en l’incluant dans le plan « Mon environnement, ma santé », le département appelle les professionnels de santé, de la petite enfance et les collectivités à se saisir de la question des pollutions de proximité. Il s’adresse également à tous les Saône-et-Loiriens et leur propose des alternatives faciles à mettre en place à la maison, pour limiter l’exposition aux perturbateurs endocriniens. Il est le deuxième Département de France à proposer un plan d’actions aussi complet et concret.

Lundi 7 mars, le jury du Prix Régional des Métiers d’Art, organisé par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Région Bourgogne Franche-Comté (CMAR BFC), s’est réuni suites aux sélections départementales. La thématique de cette année était : « les métiers de la création contemporaine  ». L’œuvre d’Alain Sauter, « Globe terrestre calibre 80 centimètre » a impressionné le Jury : « c’est un travail unique avec une cartographie dédiée, offrant plusieurs niveaux de lecture intégralement mis en couleur à l’aquarelle et posé sur une structure en acier. »

Alain Sauter est docteur en géographie et ancien enseignant-chercheur (six ans à l’Institut de Géographie, Paris Sorbonne). Il a appris à maîtriser les savoir-faire de cette profession d’artisan fabricant de globes terrestres aujourd’hui presque disparue. Depuis 2016, il se consacre pleinement à ce projet avec l’appui de son équipe. Ce prix est une vraie récompense personnelle pour cet autodidacte de la fabrication de globe qui a dû mettre toute son énergie pour être reconnu auprès de l’Institut national des métiers d’Art comme professionnels des métiers d’art.

La Maison Albert Bichot annonçait en mai dernier son engagement auprès de la Fondation Tara Océan dans le cadre de la Mission Microbiomes. À l’occasion de cette expérience scientifique, quelques magnums de la Maison ont aussi embarqué à bord de cette expédition unique. Fin décembre 2021, c’est au tour d’Albéric Bichot de rejoindre l’équipage de la goélette Tara au nord de l’Antarctique en mer de Weddell pour dix jours d’exploration. En partageant une partie de cette mission inédite de l’Atlantique sud à l’Antarctique, Albéric Bichot réaffirme le soutien des Domaines Albert Bichot envers la Fondation Tara Océan pour la protection des terroirs maritimes et terrestres.

Le village natal de Colette a été sélectionné pour représenter, cette année, la région Bourgogne-Franche-Comté au concours télévisé présenté par Stéphane Bern. Depuis quelques années, la cité poyaudine connait une notoriété nouvelle portée par la maison de l’écrivaine, labellisée Maison des illustres en 2012, et le musée qui lui est consacrée. Elle compte, par ailleurs, de nombreux atouts pour séduire les téléspectateurs comme la richesse de sa vie culturelle, son patrimoine architectural - et en premier lieu, la Tour sarrazine - ou encore la Poéterie - une friche industrielle reconvertie en village d’artistes - un lieu unique en France. La commune de l’Yonne aura néanmoins fort à faire pour succéder à Sancerre (Cher), lauréat l’an dernier. Dieulefit (Auvergne-Rhône-Alpes), Bergheim (Grand Est) ou encore Port-Joinville (Pays-de-la-Loire) font partie des 14 villages en compétition.

Représentant de la CPME de l’Yonne, le chef d’entreprise de Brienon-sur-Armançon a été élu président du Conseil de la protection sociale des travailleurs indépendants (CPSTI) Bourgogne-Franche-Comté. Celui qui siège également à la Chambres de métiers et de l’artisanat de l’Yonne et de Bourgogne-Franche-Comté et est titulaire d’un mandat à la Commission paritaire régionale interprofessionnelle Bourgogne-Franche-Comté dirigera cette instance de gouvernance pendant quatre ans. Le CPSTI a notamment pour mission de « veiller à la bonne application aux travailleurs indépendants des règles relatives à leur protection sociale et à la qualité de service rendu aux travailleurs indépendants par les organismes assurant le recouvrement des cotisations et le service des prestations ».

Vendredi 18 février, Henri Prévost, préfet de l’Yonne, a inauguré l’espace France Services d’Appoigny en présence des élus. À ce jour, le département de l’Yonne compte 27 espaces France services dont le bus itinérant du conseil départemental, dont le déploiement et la labellisation sont pilotés par l’Agence nationale de la cohésion des territoires.

Suite à la circulaire ministérielle du 31 janvier, une aide d’urgence pour la filière porcine d’un montant de 15.000 euros par exploitation (avec application de la transparence GAEC) est mise en place pour les exploitations  : ayant atteint 80 % de consommation des crédits «  court terme de trésorerie  », à compter du 1er janvier 2022 et pendant une durée d’un mois glissant  ; ayant engagé une démarche de demande de PGE auprès de leur banque. Le formulaire à télécharger sur le site yonne.gouv.fr devra être envoyé au service économie agricole de la DDT de l’Yonne, à Auxerre.

Le quartier de la gare de Saint-Vit fait l’objet d’importants travaux de réaménagement pour la création d’un pôle d’échange multimodal (aménagement du parking de la gare (55 places) et de son parvis, avec notamment la création d’un arrêt minute, sécurisation des accès à la gare grâce à une nouvelle traversée piétonne gérée par des feux tricolores, création deux nouveaux arrêts de bus implantés sur le boulevard de la gare, de trottoirs rénovés et d’aménagements cyclables...). Si les travaux engagés depuis le 1er février n’ont pas eu d’incidence jusqu’à présent sur la RD 673, des perturbations de la circulation sont à prévoir dans le secteur durant les trois prochains mois À partir du 8 mars, des travaux de rabotage de la chaussée nécessiteront de barrer la route pendant deux à trois nuits. Les véhicules légers seront déviés par la rue de l’Industrie à Saint-Vit et les poids lourds par Rochefort-sur-Nenon / Chemaudin.

Du 14 mars au 28 avril, de la gare vers le giratoire, une circulation alternée sera mise en place en fonction de l’avancée des travaux. Du 29 avril au 24 mai, les travaux concerneront les branches du giratoire. Des déviations seront mises en place, selon les phases du chantier, par la promenade des Planches et le trafic sera également géré par des feux intelligents. La circulation des convois exceptionnels sera impossible dans le sens Besançon-Dole. Du 24 au 30 mai, la route sera à nouveau barrée pendant 3 à 4 nuits pour réaliser les enrobés ; des déviations seront mises en place pour les véhicules légers par la rue de l’Industrie à Saint-Vit et pour les poids lourds par Rochefort-sur-Nenon / Chemaudin. Ces travaux, d’un montant de 825.000 euros TTC, sont financés par Grand Besançon Métropole avec le soutien de l’État, de la Région et du Département du Doubs.

La ministre du Travail, de l’emploi et de l’insertion va se rendre à la Mission locale du Pôle économie et insertion professionnelle du Sénonais pour parapher les premiers Contrats d’engagement jeune (CEJ) prévus dans le plan gouvernemental « 1 jeune, 1 solution ». Ce dispositif destiné aux jeunes de moins de 26 ans sans emploi, ni formation depuis plusieurs mois met en place un accompagnement individuel de 15 à 20 heures par semaine « avec notamment des ateliers - pour apprendre à faire un CV, à passer un entretien d’embauche... - mais aussi des périodes d’immersion et de stage en entreprise afin de leur permettre de découvrir des métiers et de construire leur projet professionnel ».

C’est l’unique formation de ce type disponible en France. Depuis janvier 2021, Centaure propose en effet des formations de conduite préventive pour les engins agricoles. Une manière, pour ce centre de formation, de diversifier ses activités. Destinée à des chefs d’entreprise, des salariés ou encore des exploitants agricoles de tous secteurs amenés à la conduite de tels véhicules sur la voie publique, cette formation est proposée sur les deux sites de Centaure Grand-Est situés à Grevrey-Chambertin et à Phalsbourg en Moselle.

Dispensée en collaboration avec Groupama Grand-Est, cette formation permet de répondre aux nouveaux enjeux de sécurité pour les conducteurs de véhicules agricoles modernes suite aux évolutions technologiques. « La conduite des engins agricoles, désormais plus grands, plus puissants et plus rapides, nécessite une bonne connaissance du matériel, de la réglementation et des risques sur la route. Le stage se déroule sur une journée et vise à optimiser la conduite de tracteurs et d’ensembles attelés. Elle s’adresse aussi bien aux conducteurs novices qu’aux plus expérimentés », précise Jean-Luc Regard, directeur de Centaure Grand Est.

Début février, l’UIMM et les partenaires sociaux ont édité une nouvelle convention collective qui redéfinit les règles du travail applicable dans les entreprises du secteur de la métallurgie, après plusieurs années de négociations. Un délai de deux ans, soit jusqu’au 1er janvier 2024, s’offrent ainsi aux chefs d’entreprise du département pour mettre en application cette nouvelle convention. Au total, 400 entreprises et 15.000 salariés sont concernés par l’édition historique de nouvel accord puisqu’il s’agit de la première fois en France qu’une branche professionnelle révise un document établi il y a 50 ans.

D’après l’UIMM de Côte-d’Or, le but de la démarche est de « créer le modèle social de l’industrie de demain afin de répondre aux nouvelles attentes des entreprises et des salariés [...] Les profondes mutations de l’environnement industriel, qu’elles soient technologiques, organisationnelles, liées à la mondialisation ou à la transition écologique, ont renforcé le besoin de règles conventionnelles uniformes ». La déléguée générale de l’UIMM 21 fait par ailleurs savoir que les équipes, composées d’experts juridiques et ressources humaines « sont prêtes à accompagner les adhérents de l’UIMM et de manière plus générale, les entreprises de la métallurgie sur le territoire départemental ».

À Auxerre - route de Monéteau - et à Nevers - boulevard du Pré-Plantin -, le Pôle formation 58-89 de l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie) va présenter aux étudiants et aux demandeurs d’emploi ses différentes formations diplômantes, du CAP au niveau ingénieur, le samedi 12 mars prochain. Les équipes de l’EPSI, de l’Ifag Bourgogne-Franche-Comté et de l’ITII Bourgogne seront mobilisées pour expliquer les nombreuses voies offertes en apprentissage. Ces portes ouvertes seront aussi l’occasion de découvrir deux nouveaux cursus : le BTS CCST (Conseil et commercialisation de solutions techniques) et le Bachelor Technicien en maintenance avancée (Bac +3).