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Récidive des petits excès de vitesse : renforcer l’éducation routière

Europe
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À partir du 1er janvier 2024, les excès de vitesse de moins de 5 km/h ne seront plus sanctionnés par un retrait de points, comme c’est actuellement le cas. Suite à cette annonce, faite le 19 avril par le ministre de l’Intérieur, les professionnels de l’éducation routière proposent de compléter le dispositif en cas de récidive afin « de limiter l’impact de cette mesure sur la sécurité routière et ainsi garantir à tous le maintien de la mobilité en toute sécurité ».

Ainsi, les conducteurs récidivistes pourraient se voir présenter la possibilité de réaliser une session de sensibilisation à la sécurité routière de 2 heures, au sein de l’une des écoles de conduite labellisée. Objectif ? Les alerter sur l’impact de leur comportement et les orienter vers une conduite plus sécurisée.

« La formation continue des conducteurs est une nécessité. Elle commence par l’accompagnement des récidivistes dans l’appréhension d’une conduite sécurisée pour tous et partout », explique ainsi dans un communiqué Patrice Bessone, le président du pôle éducation et sécurité routière de Mobilians.

Énergie verte : une nouvelle alliance pour développer l’éolien offshore

Europe
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Neuf pays ont décidé de s’engager dans la déclaration d’Ostende dans le but de créer la plus grande centrale électrique verte d’Europe.

Ce projet ambitieux permet de réunir : la Belgique, les Pays-Bas, le Danemark et l’Allemagne, déjà présents durant la première édition du sommet de la mer du Nord, et désormais : la France, l’Irlande, le Royaume-Uni, le Luxembourg et la Norvège.

L’objectif commun est de développer l’éolien offshore en mer du Nord jusqu’à atteindre 300 GW de capacités installées d’ici 2050. Pour cela, les états participants souhaitent stimuler les investissements. La volonté des pays de s’allier dans cette déclaration s’est traduite par une rédaction aisée.

En revanche, la réalisation de ce projet suppose un travail colossal, notamment de coordonner les projets entre les pays de l’alliance, afin d’étaler les chantiers dans le temps, mais aussi de garantir l’approvisionnement local en matières premières nécessaires, tels que les terres rares.

Certains pays, comme la France et le Luxembourg, y voient une opportunité de sécuriser la filière industrielle de l’éolien vis-à-vis de l’industrie chinoise, et ainsi développer la production et créer des emplois industriels sur le sol européen.

Le coût du projet s’annonce important, puisqu’en 2020 Bruxelles chiffrait les besoins d’investissements de l’Union Européenne à 800 Mds €.

Le coût du projet semblerait se profiler à la hausse du fait de l’inflation ayant touché l’ensemble de l’Europe. De ce fait, le projet nécessite d’être protégé de possibles attaques extérieures et les matériels doivent être standardisés afin d’augmenter au mieux les économies d’échelles.

L’apport de l’expertise de chaque pays compte afin de porter au mieux ce projet stratégique. Ainsi, la Norvège, partenaire énergétique incontournable se propose d’apporter son expérience en matière de production d’hydrogène vert, de photovoltaïque flottant et de séquestration de carbone.

Le Luxembourg, au vu du coût estimé, apportera son expertise en matière de financement. Afin d’assurer l’intégration de cette production d’éoliennes offshore dans le réseau électrique européen, les interconnexions entre les pays seront indispensables.

Pour cela, certains se lancent dans de nouveaux projets, notamment le Royaume-Uni et les Pays-Bas.

En effet, ces derniers ont annoncé le lancement, dès 2023, d’un projet de connexion baptisé « LionLink », les reliant aux parcs éoliens offshore, par câbles électriques sous-marins. Mais de nombreuses autres interconnexions devraient également voir le jour dès le début des années 2030.

Nouveau sous-préfet à Autun

Hommes et chiffres
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Après avoir été sous-préfet de Sarlat-la-Canéda et directeur de cabinet du préfet de la Loire et de Mayotte de 2016 à 2019, Jean-Baptiste Constant a exercé en 2020 des fonctions de chargé de mission auprès du secrétaire général du ministère de l’Intérieur puis d’administrateur civil, chef du service de gestion des personnels de la Police nationale.

Représentant du préfet dans l’arrondissement d’Autun, il est en charge dorénavant de coordonner et d’animer l’action de l’État. Il veille au respect des lois et règlements, concourt au maintien de la sécurité et de l’ordre public et à la protection des populations.

Il assure également , par délégation du préfet et en étroite liaison avec ses services, l’exercice du contrôle de légalité et le conseil aux collectivités locales.

Acteur du développement local, il suscite, en étroite collaboration avec les élus locaux et les partenaires de l’État, des actions en soutien du développement économique et de l’emploi, ainsi que pour renforcer l’attractivité des territoires, la cohésion sociale et les solidarités de proximité, notamment au titre de la ruralité et de la politique de la ville.

Les talents féminins à la découverte des métiers du maritime

Collectivités
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L’association Elles bougent qui vise à susciter des vocations auprès des jeunes filles dans les métiers des secteurs industriels, technologiques et scientifiques, s’associe pour la 5e fois au Cluster Maritime Français (CMF) pour l’opération « les Elles de l’Océan ».

Le 23 mai, 22 événements sont organisés dans toute la France et à l’international au sein de 22 entreprises partenaires, et/ou membre du CMF, qui ouvriront leurs portes aux collégiennes, lycéennes et étudiantes afin de promouvoir la place des femmes dans le secteur maritime et faire connaître la diversité de formations et de métiers, aussi bien scientifiques que techniques, qu’il propose.

Premier « BootCamp du créateur » à Besançon pour aider les personnes qui souhaitent créer leur activité.

Collectivités
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Jeudi 1er et vendredi 2 juin, la Fabrique à entreprendre du Grand Besançon, organise son premier « BootCamp du Créateur ». Cet événement, à destination de créateurs issus majoritairement des Quartiers prioritaires de la ville (QPV), leur permet de travailler sur leur projet seul ou en équipe en immersion pendant deux jours.

Accompagnés par des coachs et des professionnels de différents domaines d’activité, les porteurs de projets vont travailler sur la base d’un Business Model Canvas c’est-à-dire qu’ils vont apprendre à décrire précisément comment leur entreprise va gagner de l’argent et créer de la valeur : je vends quoi ? Auprès de qui ? De quelle façon ? Dans quel but et pour quel bénéfice ?

Comment y participer ?

  • « Le BootCamp du Créateur » est ouvert à tous.

Une nouvelle présidente pour le Centre national de la propriété forestière (CNPF) de BFC.

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Emilie Philippe, élue de la Nièvre succède à Raoul de Magnitot à la présidence de l’Établissement public en charge du développement de la gestion durable des forêts privées dans la région BFC, pour un mandat de TROIS années.

Fête de la biodiversité à Besançon

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Dimanche 21 mai, veille de la journée mondiale de la biodiversité, une partie du troupeau municipal rejoindra la colline de Planoise. Après un hiver passé à l’abri, les 80 chèvres et 40 brebis ont quitté leur lieu d’hivernage pour regagner leurs premières pâtures dans les collines ou prairies de la ville. Ouverte au public, cette journée sera l’occasion de se familiariser avec l’écopâturage et la protection de la biodiversité au cours d’une mini randonnée de deux kilomètres.

Le départ est prévu à 11 heures au parc urbain de Planoise. L’arrivée aura lieu aux alentours de midi au fort de Planoise. Un apéritif sera offert par la ville de Besançon et les participants qui le souhaitent pourront prévoir de pique-niquer en veillant à trier leurs déchets.

Sur place, des activités de découverte de pleine nature seront proposées entre 13 et 16 heures. En cas d’intempéries, la manifestation sera annulée. Il est conseillé de prévoir une tenue et des chaussures adaptées.

Plus de 4,4 M€ d’aides aux communes et intercommunalités

Collectivités
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En vigueur depuis cette année, le Plan Marshall pour la Côte-d’Or, qui vise à soutenir l’investissement des communes et des intercommunalités, mobilise 150 M€ sur la période 2023-2027.

Le Plan Marshall a été conçu en prenant en compte les réalités territoriales afin de répondre au plus juste aux attentes des élus locaux. Il se décline ainsi en 6 volets :

  • Village Côte-d’Or.
  • Patrimoine communal Côte-d’Or.
  • Patrimoine protégé Côte-d’Or.
  • Transition écologique Côte-d’Or.
  • Transition numérique Côte-d’Or.
  • Grands projets Côte-d’Or.

Au total, ce sont 119 projets qui bénéficient du soutien du Département pour un montant de près de 3 M€.

Le Département honore également les engagements pris dans le cadre du programme « Cap 100% Côte-d’Or », antérieur au Plan Marshall. Il a ainsi attribué plus d’1 M€ en soutien aux 4 projets suivants :

  • 280 000 € à la commune de Vitteaux pour la réhabilitation de sa salle polyvalente.
  • 310 000 € à la commune de Châtillon-sur-Seine pour la requalification de son centre-bourg.
  • 400 000 € à la Communauté de communes Terres d’Auxois pour la réhabilitation du gymnase à Vitteaux.
  • 77 000 € à la Communauté de communes Forêts, Seine et Suzon pour la construction d’une micro-crèche à Messigny-et-Vantoux.

easyJet lance le recrutement de 200 aspirants pilotes

Entreprises
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La compagnie aérienne britannique à bas coûts lance une nouvelle session de recrutement pour son programme de formation des aspirants pilotes « Génération easyJet ».

200 apprentis, avec peu ou pas d’expérience, seront sélectionnés. Leur formation débutera en décembre 2023 et devrait s’achever en 2026. Le programme de formation au pilotage est pris en charge par easyJet en partenariat avec CAE. La formation au sol est dispensée dans les académies d’aviation européennes de CAE à Oxford, Milan, Bruxelles ou Madrid.

Et la formation en vol à CAE Phoenix aux États-Unis. Une fois le programme terminé avec succès, les diplômés commencent leur carrière en tant que copilote chez easyJet. Au cours des cinq prochaines années, la compagnie prévoit de recruter plus de 1 000 nouveaux pilotes.

Pour postuler, les candidats doivent être âgés de 18 ans ou plus au moment où ils débuteront la formation. Ils devront aussi fournir des certificats attestant qu’ils ont réussi les examens du lycée pour les mathématiques, l’anglais et les sciences, ainsi que deux autres matières.

Aucune qualification supérieure ni aucun diplôme n’est requis. Pour candidater, rendez-vous sur le site de la compagnie : www.becomeapilot.easyjet.com

Une journée de réflexion autour du vieillissement

Collectivités
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Engagée dans le réseau francophone Villes Amies des Ainées, la Ville de Besançon et son CCAS participeront à la journée « Vieillissement, maintien à domicile : un défi pour les CCAS/CIAS ». Elle se déroulera mardi 16 mai entre 8 heures 45 et 17 heures, à la mairie de Besançon (salle COURBET).

Organisée par l’Union Départementale des Centres Communaux d’Action Sociale du Doubs et de Côte d’Or, cette manifestation vise à sensibiliser les CCAS, les adhérents à l’UDCCAS et les acteurs du bien vieillir aux mesures d’accompagnement des seniors. Elle sera également l’occasion de présenter les dispositifs favorisant le maintien à domicile qui existent dans la région.

Les Petits Frères des Pauvres interviendront sur la thématique « Solitude et isolement social des personnes âgées, de quoi parle-t-on ? » et présenteront le baromètre de l’isolement et de la solitude des personnes âgées en France. Le département, l’ARS, le Pôle Gérontologique d’Innovation, la Maison des Seniors et le réseau francophone Villes Amies des Ainées participeront également à cette journée.

Olivier Colin réélu président du conseil régional de l’Ordre des géomètres-experts de Dijon.

Hommes et chiffres
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Le Conseil régional de l’Ordre des géomètres-experts de Dijon a tenu son Assemblée générale ces 20 et 21 avril au Domaine de Roncemay. Ce temps fort de l’institution a permis de mobiliser les 75 géomètres-experts de la Côte-d’Or, du Doubs, du Jura, de la Nièvre, de Haute-Saône, de Saône-et-Loire, de l’Yonne et du Territoire de Belfort pour élire le nouveau bureau régional qui sera chargé de représenter la profession jusqu’en 2025.

Voici la nouvelle équipe :

Président : Olivier Colin.

Conseillers régionaux : Stéphane Bartial, Jean-Baptiste Rollin, Estelle Caulfuty, Jean-Louis Deleligne, Marie- Claire Bettinelli-Grappe, Laurent Gelin, Frédéric Jamey, Hélène Mornand.

Toosla révolutionne la voiture de fonction avec le lancement à grande échelle de son Compte mobilité pour les professionnel

Automobile
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Acteur digital de la location de voiture de courte durée, Toosla annonce la commercialisation à grande échelle de son offre BtoB « Compte mobilité » et propose ainsi une nouvelle approche de la voiture de fonction, plus flexible et « sans irritant » pour les entreprises et leurs collaborateurs.

« La mobilité professionnelle est confrontée aux mêmes enjeux que celle des particuliers. Les entreprises comme leurs collaborateurs veulent des options plus flexibles et plus respectueuses de l’environnement sans pour autant transiger sur leur confort. Le modèle traditionnel de la voiture de fonction personnelle semble clairement dépassé. Nous sommes très heureux de lancer le « Compte mobilité Toosla » destiné aux professionnels.

Cette offre est le fruit d’importants développements de notre application pour offrir à nos clients BtoB le même niveau de service qu’à nos clients particuliers. Le marché visé est évalué à 50 000 véhicules en région parisienne. Cette nouvelle offre participera ainsi à la croissance et à la rentabilité de Toosla dans les prochaines années et s’inscrit dans notre volonté de révolutionner la mobilité », indique Eric Poncin, Président-directeur général de Toosla.

Une mobilité repensée pour les professionnels

L’offre BtoB « Compte mobilité » de Toosla vise à remplacer la traditionnelle voiture de fonction par un forfait mobilité. Le budget de la voiture de fonction est converti en cagnotte utilisable chez Toosla. Ce dispositif a été conçu dans une approche « gagnant-gagnant » pour les entreprises et leurs collaborateurs. Il allège les entreprises de la gestion de leur parc automobile et réduit les coûts associés (personnels dédiés, frais d’entretien, frais d’assurance etc.).

Il donne en même temps aux collaborateurs éligibles l’accès à tout le parc Toosla 24h sur 24 et 7 jours sur 7, à travers l’application grâce à un profil utilisateur spécifique. Ils bénéficient ainsi de la même qualité de service client que les utilisateurs particuliers et des véhicules fortement équipés : boîte automatique, GPS, etc.

Le « Compte mobilité Toosla » a déjà fait l’objet d’une expérimentation au second semestre 2022 avec deux entreprises de la région parisienne, impliquant plus de 100 collaborateurs, et les premiers retours sont très positifs.

Ces tests grandeur nature ont permis à Toosla de perfectionner son offre et les développements techniques de l’application. Le « Compte mobilité Toosla » permettra en outre de faire connaître l’application Toosla à de nouveaux publics et de tirer tous les bénéfices du puissant algorithme de l’application qui lui permet d’optimiser le taux d’utilisation de ses véhicules jusqu’à 90%.

Une nouvelle stratégie pour la défense spatiale européenne

Europe
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Face à la désinformation massive, l’Union européenne a publié sa première stratégie spatiale pour la défense et la sécurité et a ainsi rejoint la guerre des étoiles. Alors que les États-Unis, la Chine, la Russie et la France disposent d’une telle stratégie et d’un commandement spatial depuis longtemps, l’Union européenne n’en est pas encore là.

Pourtant, de nombreux programmes spatiaux ont déjà été mis en place sur le continent, qu’il s’agisse de Galileo, le système européen de géolocalisation, ou de Copernicus, une constellation de satellites d’observation.

La stratégie vise à mettre les 27 États membres de l’Union européenne sur le même pied d’engagement concernant la défense spatiale. En effet, depuis une quinzaine d’années l’espace est considéré comme une zone de conflit, avec des menaces telles que la destruction et l’espionnage de satellites ou les actions hostiles visant à bloquer toute communication et la saisie de satellites. Certains Etats n’ont d’ailleurs pas hésité à user de la force pour espionner ou détruire des satellites étrangers.

Encore très peu de pays sont capables de surveiller précisément l’espace et de se protéger efficacement. Les États les plus avancés tels que les États-Unis, la Chine, la Russie, la France et l’Allemagne disposent quant à eux de moyens techniques et de contingents importants affectés à cette tâche.

Dans ce contexte conflictuel, Bruxelles cherche à mutualiser les données des divers États membres afin de détecter les menaces à venir et leur origine. Cependant, la création d’un commandement de l’espace européen reste prématurée, car il faut pouvoir collecter suffisamment de données de surveillance en temps réel, ce qui n’est pas encore possible avec les moyens actuels. Toutefois, en cas d’agression armé sur les satellites européens, l’Union européenne prévoit une assistance mutuelle entre les États membres.

Au-delà d’une meilleure surveillance spatiale, l’Union européenne a pour objectif de présenter un règlement sur l’espace d’ici l’année 2024. Dans une tentative d’harmoniser les règles européennes, le texte portera sur des standards communs de sécurité, de sûreté ou de développement durable, concernant à la fois l’activité dans l’espace, mais également au sein de l’industrie spatiale.

Alors que l’Europe se prépare à affronter les menaces dans l’espace, la publication de cette stratégie est une étape importante pour la construction d’une défense européenne commune. Malheureusement, cet ambitieux projet risque d’être freiné par l’absence de fusée européenne et le retard accumulé pour le lancement de nouvelles.

Deux dispositifs du Grand Chalon inspirent la future proposition de loi Industrie Verte

Collectivités
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Lundi 3 avril 2023 étaient présentées au ministère de l’Économie et des Finances les 29 premières propositions pour le futur projet de loi Industrie Verte, parmi lesquelles deux dispositifs mis en place depuis plusieurs années par l’agglomération du Grand Chalon (Saône-et-Loire) : d’une part les sites "clefs en mains", pour réduire les délais d’implantation des entreprises, tel la zone SaôneOr, elle-même labellisée “Site industriel clés en mains” depuis juillet 2020.

C’est grâce à ce dispositif que le Grand Chalon a dernièrement pu concrétiser l’implantation du groupe agroalimentaire espagnol Vicky Foods et de l’entreprise productrice de micro-batteries ITEN ; d’autre part, la création de diplômes d’enseignement supérieur dans les territoires, au plus près des entreprises répondant aux besoins des entreprises industrielles grâce à des coopérations sur-mesure avec des partenaires de l’enseignement supérieur.