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Nucléaire : 10 000 recrutements dans la filière sur les 10 ans à venir

Le Journal du Palais
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Le nucléaire prévoit de recruter 10 000 personnes par an d’ici à 2034. (©France Travail)

Troisième secteur industriel, le nucléaire occupe une place importante dans l’économie française, avec plus de 200 000 emplois directs et indirects en 2024. Une place que la filière n’est pas près d’abandonner. L’avenir énergétique de la France repose en effet sur la substitution des combustibles fossiles par la production massive d’électricité décarbonée, renouvelable et nucléaire.

Pour y parvenir, dans le cadre des investissements du plan France 2030, la filière bénéficie ainsi de 1,2 Md€ de fonds publics pour favoriser l’émergence de nouveaux réacteurs de petite taille et développer la formation aux métiers du nucléaire. De fait, le secteur prévoit de recruter 100 000 nouveaux talents d’ici à 2034, soit 10 000 embauches équivalent temps plein par an.

Ces recrutements permettront d’accompagner le programme de construction des nouveaux réacteurs EPR2, l’exploitation, la maintenance et le grand carénage des installations existantes, ainsi que les travaux de recherche et développement sur les réacteurs innovants. Une croissance des effectifs qui repose principalement sur les entreprises de taille intermédiaire (ETI) et les petites et moyennes entreprises (PME), fournisseurs de la filière.

Pour répondre aux besoins de recrutement et susciter des vocations, l’Université des métiers du nucléaire et France Travail fédèrent leurs différents partenaires à l’occasion de la semaine des métiers du nucléaire, du 3 au 7 février 2025. Un programme d’animations varié, comprenant des visites de sites, des rencontres, des ateliers immersifs, des forums et des webinaires thématiques, afin de valoriser les opportunités de cette filière d’avenir.

Plusieurs de ces événements se déroulent en Occitanie dont notamment une rencontre entre jeunes en recherche d’emploi, collégiens, lycéens, étudiants et entreprises du secteur le 1er février à Bagnols-sur-Cèze dans le Gard. Le 4 février, toujours à Bagnols-sur-Cèze, un forum est organisé qui réunira près de 80 ETI et PME. Objectif : pourvoir quelque 250 offres d’emploi.

Les femmes ne représentent encore que 22 et 24 % des effectifs de la filière contre 30 % dans l’ensemble de l’industrie. Pour combattre les stéréotypes, le 6 février, à Valence d’Agen en Tarn-et-Garonne, les femmes en recherche d’emploi seront plus particulièrement ciblées. L’occasion de leur présenter les métiers du nucléaire ainsi que les opportunités d’emploi et les parcours proposés par France Travail pour l’accès à ces emplois.

Le lendemain 7 février, à Castelsarrasin, cette fois c’est une rencontre avec le GIE Atlantique (association régionale de partenaires de l’industrie nucléaire) qui sera proposée. Elle permettra d’en savoir plus sur le fonctionnement d’une centrale, les métiers existants ainsi que les prérequis et savoir-être pour exercer dans ce secteur.

Pour en savoir plus et vous inscrire à l’un de ces événements, consultez le programme sur Mes évènements Emploi en sélectionnant l’opération « Semaine du nucléaire »

Quatre entrants au Village by CA de Nevers

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Suite à l’appel à candidatures lancé en novembre 2024 par le Village by CA Nevers, quatre startups intègrent l’accélérateur du Crédit Agricole Centre Loire.

  • Solawel propose un logiciel sur-mesure afin que les bénéficiaires de prothèses puissent faire leurs démarches pour obtenir une prothèse adaptée et que les orthopédistes travaillent dans des conditions optimales. Elle propose un outil 3 en 1, avec : une application mobile pour les patients porteurs d’orthèse ou prothèse, un espace dédié aux orthopédistes, une plateforme numérique de communication et de récolte des données pour les fabricants.
  • Softech 58 souhaite créer un progiciel pour l’outillage parc et jardin qui garantit un suivi rigoureux de chaque bien et qui facilite le prolongement de la durée de vie des appareils et les interactions entre vendeurs, propriétaires et réparateurs. La solution agira comme un carnet d’entretien digital pour lutter contre l’obsolescence prématurée. Elle proposera des rappels automatiques d’entretien, une documentation accessible en un clic et un réseau de réparateurs de proximité qualifiés.
  • Median Group est une agence de gestion de talents (influenceurs) du monde du e-sport (et plus spécifiquement des jeux de type FPS). Elle gère les réseaux sociaux du talent, ses contrats publicitaires, son patrimoine et ses démarches juridiques. Elle les met également en relation avec des marques pour des campagnes marketing.
  • Enfin Café Laverie est une laverie où il est possible de travailler dans un espace de co-working et / ou de boire un café.

L’Adie Ocitanie se mobilise pour aider les personnes issues des quartiers à créer leur boîte

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Reconnue d’utilité publique, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) a pour vocation de promouvoir la création d’entreprise comme vecteur d’émancipation et d’insertion professionnelle durable. Elle accompagne les porteurs de projet qui n’ont pas accès aux financements bancaires traditionnels via des micro-crédits dont le montant peut aller jusqu’à 12 000 €. Elle s’appuie pour ce faire sur un réseau d’établissements bancaires partenaires.

En 2023, l’Adie Occitanie - forte de 39 salariés et de 72 bénévoles - a accompagné financièrement 2 019 personnes (+12 %) dont 1 439 entrepreneurs (+11 %). Un volume d’activité historique. Dans les faits, cela représente 2 845 opérations de financement, pour un montant total de plus de 9,9 M€ (+29 %). Parmi ces aides, on dénombre 1 571 micro-crédits professionnels (+ 8 %) attribués pour le démarrage ou le développement d’une activité. 560 prêts d’honneur ont également été attribués.

Mais alors que dans les quartiers prioritaires relevant de la politique de la ville les créateurs d’entreprise sont aussi ambitieux qu’ailleurs, il y a sept fois moins d’entrepreneurs que dans le reste de l’Hexagone. Difficultés d’accès au financement, manque d’information sur les aides existantes, barrières mentales, faible intégration au réseau d’acteurs locaux... les freins sont multiples et tenaces.

C’est justement pour inverser la dynamique et ainsi combler le fossé de l’accès à l’initiative économique que l’Adie lance une nouvelle campagne d’information nationale gratuite. Du 3 au 7 février 2025, en Occitanie, une vingtaine d’événements (ateliers, réunions d’information, etc.) sont programmés en présentiel et en ligne, pour partager conseils, services et faire passer le message que l’entrepreneuriat est ouvert à toutes et tous, y compris dans les quartiers.

Une initiative salutaire alors que le territoire occitan compte 108 quartiers prioritaires labellisés. Actuellement, l’Adie Occitanie accompagne chaque année plus de 240 entrepreneurs issus de ces territoires. D’ici 2027, l’association ambitionne d’en soutenir 400. « Les entrepreneurs des quartiers démarrent avec plus de freins que ceux des autres territoires. Près de 6 sur 10 vivent sous le seuil de pauvreté. Ils ont souvent plus de difficultés à accéder au crédit bancaire et ils manquent de modèles d’entrepreneurs autour d’eux auxquels s’identifier et demander des conseils. Pourtant, des solutions comme celles du microcrédit accompagné de l’Adie existent », insiste Christophe Nicaud, directeur régional.

Rien qu’à Toulouse et son agglomération, ce ne sont pas moins de huit temps forts qui sont proposés. Mardi 4 février, de 14 heures à 16 heures, l’agence Adie située 2 rue Raymond Lizop ouvre ses portes pour faire découvrir les missions de l’association et donner les premiers et précieux conseils pour ceux et celles qui souhaitent créer leur boîte. À Muret, toujours le 4 février, rendez-vous à l’Espace emploi entreprise Jean Jaurès pour participer à l’atelier : « Je construis mon projet ».

Pour s’inscrire et découvrir l’ensemble des évènements imaginés par les équipes en région, dont des échanges inspirants avec des entrepreneurs ayant déjà franchi le pas, rendez-vous directement sur le site de l’association en cliquant ici.

Tefal recycle les poêles.

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Tefal, marque du groupe Seb fabricant de petit électroménager né à Selongey (21) annonce le lancement de la première filière mondiale de collecte et de recyclage de ces ustensiles de cuisine usagés, toutes marques confondues. « Cette initiative vise à collecter jusqu’à 20 millions de poêles en France d’ici 2027, en les transformant en nouveaux produits grâce à un processus de recyclage innovant et responsable », annonce le groupe Seb. Tefal a déposé trois brevets dédiés à l’amélioration du tri des matériaux, à la compatibilité alimentaire des matériaux recyclés et à la réduction de l’impact environnemental. « Ces innovations renforcent l’efficacité de la chaîne de recyclage et garantissent la qualité des produits finis. En 2024, près de 50 % de l’aluminium utilisé dans l’usine de Haute-Savoie était déjà recyclé. L’objectif est d’atteindre 60 % de matériaux recyclés dans les produits et emballages d’ici 2030. » Dès le premier trimestre 2025, Tefal déploiera des opérations de collecte à grande échelle de ces poêles en partenariat avec les principales enseignes de distribution (Auchan, Leclerc, Carrefour), et développera aussi un réseau de points de collecte en déchèteries et magasins. Elles seront triées et recyclées et les matériaux, notamment l’aluminium, « revalorisés grâce à des procédés maîtrisés par des partenaires industriels français. Ce recyclage permet d’économiser plus de 90 % d’énergie par rapport à la production d’aluminium vierge. » Le groupe Seb avait été menacé durant l’année 2024 par un projet de loi portée par le député écologique Nicolas Thierry d’interdiction des Pfas (« polluants éternels ») contenus dans de nombreux produits dont les poêles en Téflon, qui en avaient été écartées par les parlementaires après un intense lobbying du groupe.

Un nouveau président pour Satt-Sayens.

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L’année 2025 marque une nouvelle étape pour Sayens avec la prise de fonction depuis le 1er janvier de Romain Liège en qualité de président. Il succède à Catherine Guillemin qui a fait valoir ses droits à la retraite. Romain Liège a occupé plusieurs fonctions au sein de Sayens depuis son arrivée en janvier 2017 : d’abord responsable de la propriété intellectuelle (2017-2023) auquel s’est adjoint le service juridique (2021-2023), il était directeur général adjoint depuis 2023. Diplômé de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Ingénieur d’Angers (ISTIA) et de l’Université Paris-Dauphine, il a commencé sa carrière en tant qu’analyste brevets au sein de l’Office de transfert de technologie du CNRS (aujourd’hui CNRS Innovation). En 2011, il rejoint Veolia où il restera six ans, dans un premier temps au poste d’analyste dans les équipes de Veolia Environnement Recherche et Innovation, puis rapidement en tant qu’Ingénieur brevets pour l’ensemble du groupe.

Fondation du Patrimoine x Airbnb : 5,6 M€ attribués.

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Selon la Fondation du patrimoine, le programme « Patrimoine et Tourisme local » soutenu par Airbnb aura permis en trois ans, d’attribuer 5,6 M€ pour 200 projets de restauration situés en zone rurale. En BFC, à l’automne 2024 trois dossiers ont été lauréats : Maison Lourdel de Delle (90) : 30.000 € ; la bergerie de la grange de Beauvais à Venouse (89) : 20.000 € ; Communs de la maison natale de Colette à Saint-Sauveur-en-Puisaye (89) : 20.000 €

Voeux du préfet de région : « renforcer l’attractivité du territoire ».

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(Crédits : JDP)

À l’occasion de ses voeux, le préfet de la région BFC et de la Côte-d’Or Paul Mourier a mis l’accent sur le besoin de renforcer l’attractivité du territoire en facilitant les projets, en développant l’industrie et en favorisant l’innovation. « Nous sommes passés d’un sentiment diffus à une alerte. La Bourgogne Franche-Comté a perdu en moyenne 2.400 habitants par an entre 2016 et 2022. » Le représentant de l’État a profité de ses voeux pour esquisser un plan d’action afin de lutter contre cette déprise démographique. « La Bourgogne Franche-Comté n’est pas la seule dans ce cas mais c’est ici d’une intensité particulière. » En poste depuis le mois d’octobre dernier, celui qui estime « apprendre encore au quotidien » sur sa terre d’adoption a sillonné le territoire pour rencontrer les élus locaux, les représentants du monde industriel ou encore agricole. « Le dialogue et l’écoute porte en eux les prémices de l’action. Le dialogue pour comprendre, l’écoute pour agir. »

Prémices d’un plan d’action

Suite à ces constats et ces échanges, le préfet Paul Mourier entend faciliter les projets des collectivités et des acteurs locaux pour débloquer les situations dans « un contexte budgétaire contraint. » Pour faire avancer la région, il insiste sur la nécessité de « simplifier et simplifier encore. » Pour inverser la tendance démographique et développer le territoire, le préfet mise sur le développement industriel notamment. « Nous devons continuer à soutenir l’industrie et en particulier nos filières d’excellence comme la santé, le nucléaire ou encore l’automobile. Nous devons aussi relever le défi de dépasser la problématique de financement de la filière des biothérapies. » Pour Paul Mourier, la réindustrialisation prend corps en Bourgogne Franche-Comté et un projet comme l’école de l’hydrogène participe pleinement de la démarche. L’autre axe stratégique du préfet concerne l’écosystème de l’innovation et de l’enseignement supérieur. « Nos filières d’excellence ont besoin de recruter. On vient étudier et on reste dans la région. » Toutefois, pour mener à bien ces ambitions, le préfet Paul Mourier ne compte pas uniquement sur ses services. « Chacun apporte sa pierre à l’édifice collectif » a-t-il lancé aux élus locaux présents.

Auxerre : l’imprimerie moderne a trouvé repreneur

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Bâtiment emblématique du centre historique, ce qui fut le siège de l’ancien journal hebdomadaire La liberté de l’Yonne a fait l’objet d’une promesse d’achat de la part du promoteur immobilier Idéel, appartenant au groupe Rabot Dutilleul. « Les premiers travaux seront lancés en 2025 », explique la ville d’Auxerre. « L’imprimerie sera reconvertie en 16 logements en défiscalisation Malraux à l’étage et un restaurant au rez-de-chaussée. » Créé en 1920 dans la métropole lilloise, Rabot Dutilleul est particulièrement présent dans les Hauts-de-France, en Île-de-France, dans le Grand Est et en Belgique. L’Imprimerie moderne, d’inspiration Arts déco, avait été pressentie, un temps, pour accueillir une halle gourmande.

Le campus Bouloie Temis Prix Équerre d’argent 2024.

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Le Campus Bouloie Temis, en cours de transformation grâce à un programme de rénovations, de constructions et d’aménagements paysagers, a été distingué par le Prix Équerre d’argent 2024 dans la catégorie « Espaces publics et paysagers ». Ce prix, décerné par les revues Le Moniteur et AMC récompense annuellement un binôme commanditaire (maître d’ouvrage)/architecte (maître d’oeuvre) qui a contribué à la construction d’un ouvrage dans l’année. Il constitue un prix de référence à l’échelle nationale en matière d’architecture.

Alain Genet décoré.

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Le dirigeant d’Acta Mobilier, Alain Genet, a été promu au grade d’officier dans l’Ordre national du mérite des mains de l’emblématique ex-entraîneur de l’AJA Guy Roux - officier de la Légion d’honneur et de l’Ordre national du mérite - au cours d’une cérémonie qui s’est tenue dans l’amphithéâtre de la Maison de l’entreprise à Auxerre. « Dirigeant des entreprises Acta Mobilier et Mobilwood (connue sous le nom d’Ultérïa Agencement), Alain Genet est également président depuis 2004 de l’Assic (structure de conseil proposant depuis 1994 des vacations de conseillères sociales dans les entreprises) », rappelle le Medef de l’Yonne dont il est l’un des administrateurs depuis 1998. « En 2023, il s’est engagé dans la Convention des entreprises pour le climat qui mobilise aujourd’hui 150 entreprises icaunaises afin d’imaginer, concevoir et mettre en oeuvre des solutions capables d’allier protection de l’environnement et économie. »

Dijon : signature de la convention territoriale globale 2024-2027 de la ville avec la CAF.

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La maire Nathalie Koenders a renouvelé le 18 décembre dernier la convention qui lie la capitale régionale avec les services de la Caisse d’allocations familiales (CAF) de Côte-d’Or jusqu’en 2027. 19 M€ vont être mobilisés sur la période par la CAF pour soutenir le fonctionnement des services pour les familles dijonnaises. Plusieurs axes dans cette convention : le soutien à la parentalité, et en particulier aux familles monoparentales : « Les foyers monoparentaux, en immense majorité des mères seules, sont de plus en plus nombreux et représentent 1/3 des familles dijonnaises, a rappelé Nathalie Koenders. Plus d’un quart de ces familles sont en situation de pauvreté, même si 75% d’entre elles ont un emploi. Parmi les pistes de soutien à mettre en place, nous devons réfléchir à tout ce qui permettra une meilleure conciliation entre la vie professionnelle et personnelle de ces familles. C’est pour cette raison que nous avons fait de la conciliation des temps de vie un des axes majeurs du contrat » ; la lutte contre la pauvreté : « présente à Dijon, davantage qu’à l’échelle départementale et nationale, et en particulier chez les jeunes de 20 à 24 ans. (...) en particulier depuis la crise sanitaire - plus de 10.000 Dijonnais sont en situation de quasi-pauvreté. Ce sont eux aussi que nous devons conjointement accompagner et soutenir », a souhaité la maire. Dernier axe en lien avec le projet Génération Dijon, les enfants et les jeunes de 0 à 25 ans.

Une nouvelle identité visuelle pour la communication de l’État en Saône-et-Loire.

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À nouvelle année, nouvelle image pour les services de l’État en Saône-et-Loire, qui fera figurer une Marianne dans sa communication, entourée de branches d’olivier et de chêne, avançant devant la représentation de la Roche de Solutré. « Sa posture et son port du drapeau montrent une volonté de fédérer et d’aller de l’avant, tandis que son lien avec le territoire la rend proche et accessible, symbole d’un État résilient et visionnaire. Les branches de chêne et d’olivier, associées à la Roche de Solutré, forment un triptyque de symboles puissants. Ils expriment une République forte, juste et pacifique, tout en mettant en avant le patrimoine naturel, historique et culturel de la Saône-et-Loire. Ces éléments rappellent que l’État agit dans une proximité territoriale, en s’appuyant sur des valeurs universelles et une reconnaissance des spécificités locales. Cette Marianne symbolise une figure universelle et inclusive, dépassant les clivages sociaux ou politiques pour incarner le collectif. Cette représentation de Marianne, par sa posture affirmée, incarne une République vivante, active et engagée », précise le cabinet du préfet.

RN 57 : c’est acté

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Le projet d’aménagement de la RN57 au sud de Pontarlier, déclaré d’utilité publique en juillet 2022, a fait l’objet d’un accord décisif en 2024 entre l’État, la région Bourgogne Franche-Comté, le département du Doubs et la Communauté de Communes du Grand Pontarlier pour le financement de cette opération chiffrée à 21M€. Objectif : augmenter la capacité de cet axe et ainsi répondre à la congestion récurrente constatée.

Auxerre privée de cérémonie de voeux

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Après avoir reçu en grande pompe le sémillant Nelson Montfort, l’an dernier, à l’occasion de voeux aux accents olympiques, la ville d’Auxerre et la communauté d’agglomération de l’Auxerrois ont décidé de ne pas organiser de cérémonie de voeux en ce mois de janvier. « Les incertitudes autour du gouvernement de la République créent chez beaucoup d’entre vous une forme d’anxiété. Nous restons une Nation construite sur un État structuré. Et cette situation inédite liée à l’absence de majorité parlementaire, vous trouble. Beaucoup l’ont évoqué lors de mes échanges récents dans les quartiers d’Auxerre », s’est notamment justifié Crescent Marault. « De plus, le budget 2025 de la Nation n’est pas finalisé. Cette situation confronte les particuliers et le monde économique à une absence de visibilité qui empêche de se projeter et aux entreprises d’investir. J’ai entendu les entrepreneurs m’avertir que la conjoncture est moins favorable, plus complexe en matière de croissance, même localement. »

Le groupe Blondel innove en matière de logistique e-commerce.

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Pour 2025, le transporteur dijonnais propose de nouvelles prestations de livraison en B. to b. et B. to c. ainsi qu’une application à destination des négociants et des cavistes de BFC. Avec l’appui de l’IA, du Big Data, de la robotique, pour gagner en agilité et résilience sur toute sa chaîne, l’entreprise s’engage sur un acheminement en moins de quatre heures, et propose une offre “à tiroirs” adaptée aux nouvelles manières d’acheter et de consommer des vins et des spiritueux de la région. « La montée en flèche des commandes en ligne nécessite une expérience d’achat personnalisée valorisante et efficace qui va bien au-delà d’une exécution précise des commandes et d’une livraison dans les meilleurs délais », confie Michel Berthelon, directeur e-commerce du groupe.