Ce véhicule rejoindra prochainement la région d’Odessa, en Ukraine, pour permettre le transport d’enfants atteints de troubles psychomoteurs. Mis en circulation en 2012, ce minibus de 9 places a été réformé et remplacé en 2025. Il reste néanmoins fonctionnel pour cet usage de seconde vie et permettra, grâce à son aménagement spécifique, d’assurer le transport de PMR, soit un outil précieux pour les missions qui lui seront réservées sur place.
Ce don s’inscrit dans la continuité d’un partenariat engagé en 2023, à l’occasion duquel un bus standard avait été remis à cette association. Le véhicule avait été acheminé en Ukraine à Lyubashivka en juillet 2024, par les équipes des Convois Solidaires, pour devenir un cabinet médical itinérant.
Grand Besançon Métropole a permis à l’association de prendre en charge rapidement le minibus afin d’effectuer les préparatifs avant départ, notamment en profitant de sa capacité de chargement pour assurer le transfert des objets collectés grâce aux dons des Bisontines et Bisontins.
Le minibus sera convoyé par la route, conduit par les bénévoles de l’association eux-mêmes, avec un départ programmé le 31 juillet à destination d’Odessa.
Le 28 mai 2025, Roch constructeur bois, une entreprise familiale basée à Macornay dans le Jura a été cédée à Alma Entreprise (Bussy-Saint-Georges). Roch constructeur bois, fondée en 1961, est spécialisée dans la construction de maisons individuelles en ossature bois et poteaux-poutres sur mesure. Sous la direction de Thierry Dubrulle depuis 2007, l’entreprise a recentré son activité sur des projets avec un approvisionnement local en bois certifié. Engagée dans une démarche durable, elle a également équipé ses ateliers de panneaux photovoltaïques. En 2024, la société a réalisé un chiffre d’affaires de 5,85 M€ avec 31 collaborateurs. Pour le repreneur, cette acquisition s’inscrit dans une stratégie de diversification vers la construction bois sur mesure. L’entreprise souhaite intégrer un acteur historique du secteur bénéficiant d’un ancrage régional et d’un savoir-faire. L’opération a été orchestrée par le cabinet Minot & Associés en tant que conseil financier des cédants. Les conseils des cédants comprenaient également Bps Avocats et Coceg. Du côté des acquéreurs, Acofi et Fidal ont apporté leur expertise.
Une nouvelle entreprise industrielle intègre la galaxie du groupe de Saint-Fargeau. Le spécialiste de la fabrication de remorques et de carrosseries industrielles (100 M€ de chiffre d’affaires, 450 collaborateurs) a annoncé l’acquisition de Socari, implantée à Celle-Lévescault dans le département de la Vienne. Le savoir-faire de cette dernière est reconnu dans la fabrication sur mesure de bennes et de fonds mouvants en aluminium, destinés aux remorques, aux semi-remorques et utilitaires de 3,5 à 38 tonnes. « L’entreprise conçoit également des carrosseries spécifiques sur porteurs. Parmi ses innovations emblématiques figure la benne à côté relevable sous brevet, une fierté technique portée par les compagnons de Socari et gage d’ingéniosité industrielle française », a notamment expliqué le groupe Louault dans un communiqué. L’entreprise était placée en redressement judiciaire depuis le 3 avril 2025 et a été reprise à la barre du tribunal de commerce de La Rochelle (Charente-Maritime), le 26 juin dernier. Selon La Nouvelle République, Louault, l’ancien directeur général et trois salariés ont fait une offre à 30.000 € alors que le passif de Socari serait estimé à 10,6 M€. Le plan prévoit le maintien de 48 des 59 salariés de l’entreprise.
Le groupe Renolit a annoncé via un communiqué la cession de son activité française Renolit Ondex s.a.s. à American Industrial Acquisition Corporation (AIAC). Le prix d’achat n’a pas été divulgué. Renolit Ondex s.a.s. produit des plaques PVC standard et bi-orientées pour des applications en toiture et bardage. Elle emploie environ 100 personnes sur son site de Chevigny-Saint-Sauveur, près de Dijon. Cette décision s’inscrit dans la stratégie « one Renolit 2025 » du groupe, qui vise une position parmi les trois premiers acteurs sur ses marchés clés. Selon Karsten Jänicke, président du directoire « bien que Renolit Ondex s.a.s. ait connu une évolution globalement positive, elle n’a pas atteint une position de leader sur le marché ». Il a également souligné l’incapacité à réaliser des synergies entre la filiale et le groupe. La procédure formelle d’information et de consultation des collaborateurs, prescrite par la loi, a été engagée le 1er juillet 2025. Ce processus devrait être achevé d’ici la fin du mois d’août. Ce n’est qu’alors que le contrat d’achat officiel sera signé par les deux parties. Le communiqué ne précise pas le devenir des salariés français suite à cette acquisition.
Assurabilité de toutes les collectivités : le Sénat adopte en première lecture.
Mercredi 11 juin, le Sénat a adopté à l’unanimité, en première lecture, la proposition de loi (PPL)visant à garantir une solution d’assurance à l’ensemble des collectivités territoriales. Cette PPL vise à assurer une mise en oeuvre effective des recommandations formulées par le rapport de la commission des finances, et prévoit, notamment :
- l’introduction d’un observatoire des tarifs assurantiels applicables au secteur public, sur le modèle de l’observatoire des tarifs bancaires ;
- l’attribution au médiateur de l’assurance d’une compétence d’accompagnement des collectivités ne trouvant pas d’assureur ;
- la systématisation des franchises dans les contrats d’assurance « dommages aux biens » des collectivités territoriales ;
- une garantie obligatoire des dommages résultant d’émeutes et de mouvements populaires dans les contrats d’assurance « dommages aux biens ».
Le Sénat a modifié la PPL, en précisant notamment les conditions de recours au dispositif de médiation en assurances, clarifié la définition de chacune des notions « d’émeutes et de mouvements populaires » et porté de 1 à 1,5 Md € le volume du fonds de gestion de ce risque spécifique, afin d’en permettre une meilleure couverture. La PPL va être transmise à l’Assemblée nationale.
Nevers élargit le délai de stockage des images de vidéo-protection
Nevers évolue quant à la conservation des images captées par la vidéosurveillance dans l’espace public. Stockées jusqu’à maintenant 21 jours, elles le seront dorénavant durant 30 jours, sur décision du conseil municipal, le 24 juin, limite maximale autorisée par la loi. Les neuf jours supplémentaires « permettront de sécuriser les procédures, d’optimiser les recherches et de faciliter les enquêtes. Ils donneront également plus de marge aux victimes qui doivent déposer plainte suite à une infraction, par exemple un vol ou une dégradation survenu pendant leurs vacances », estime la ville de Nevers dans un communiqué. « Cette décision est un des éléments d’une stratégie globale de la politique municipale en matière de protection et de sécurité des biens et des personnes », est-il encore précisé. Après un premier équipement de la ville en caméras de vidéoprotection en 2016, la municipalité dirigée par Denis Thuriot a investi dans le développement du Centre de supervision urbain (CSU), passé du stockage sécurisé d’images à une vidéoprotection dynamique. Quatre agents et un chef de service formés, agréés et assermentés par l’État scrutent en direct les images transmises par les 62 caméras réparties dans toute la ville et peuvent à tout moment déclencher l’intervention des secours ou des forces de sécurité (police nationale ou police municipale intercommunale). L’évolution dernièrement du CSU en version dynamique permet d’absorber le délai allongé de stockage sans coût supplémentaire. Les images sont automatiquement enregistrées et supprimées par le logiciel au terme des 30 jours et remplacées par les images du jour et ainsi de suite. Le stockage et l’accès aux images sont très encadrés à la fois par la loi française et européenne et par la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés), ainsi que par une charte sur l’éthique de la vidéoprotection de la Ville de Nevers signée par les agents du CSU. Une fois effacées, les images ne peuvent plus être récupérées. Les vidéos stockées sont accessibles uniquement sur une réquisition de la police nationale, de la gendarmerie, du procureur de la République ou du maire en sa qualité d’officier de police judiciaire. La demande doit être motivée dans le cadre d’une enquête.
Une nouvelle résidence étudiante au centre de Besançon.
Un exemple d’aménagement intérieur. (Crédit : CCI Saône-Doubs.)
Le 1er octobre 2025, les premiers logements d’une résidence entièrement rénovée, située au 30 avenue Clémenceau, seront proposés à la location : un projet porté par la CCI Saône-Doubs pour répondre à la tension locative sur ce segment. Au total, la résidence proposera 37 studios T1 de 20 m² et 9 appartements T2 de 50 m² tous éligibles aux aides au logement. 20 boxes de garage et 14 places de parking seront également proposés à la location.
La CCI Saône-Doubs a consacré une enveloppe totale de 3,4 M€ (avec frais de notaire et achat de mobilier) pour acquérir ce bâtiment datant de 1994, le « Sirius » (un nouveau nom de baptême sera dévoilé lors de l’inauguration) et pour réaliser d’importants travaux d’aménagement intérieur et de rénovation énergétique. Déjà propriétaire d’une première résidence (Le Portail), « la CCI Saône-Doubs renforce ici son engagement pour l’attractivité du territoire, le soutien à la formation et l’accueil des jeunes », explique l’organisme, qui pourra ainsi faire bénéficier les personnes en liste d’attente d’une possibilité de logement dans cette nouvelle résidence.
La Chablisienne s’installe à Paris pour séduire une nouvelle Clientèle.
Fin octobre 2024, La Chablisienne officialisait le rachat de la Cave Saint-Paul, située dans le IVe arrondissement de Paris, nichée au 8 rue Saint-Paul, dans un immeuble classé du XVIIe siècle. Une adresse de caractère, au coeur du Marais, qui allie prestige, histoire et forte attractivité touristique. Avec cette implantation, la coopérative viticole fondée en 1923 s’ancre durablement dans la capitale et poursuit sa stratégie de montée en gamme et de diversification de ses points de contact. La surface totale de la cave s’élève à environ 120 m² répartis sur trois niveaux. Le rez-de-chaussée, traversant entre rue et cour intérieure, est entièrement dédié à la vente. L’ensemble de la gamme de La Chablisienne y est proposée, des cuvées les plus accessibles aux prestigieux Grands Crus. Mais la cave ne se limite pas à un simple espace commercial. Les deux autres niveaux, comprenant notamment de superbes caves voûtées et un entresol typique du Marais, sont pensés comme des espaces d’animation et de rencontres. Dégustations commentées, rendez-vous avec des professionnels du vin, événements privés ou encore ateliers pour clubs d’oenologie parisiens : la Cave Saint-Paul a vocation à devenir un lieu vivant. « Ce projet répond parfaitement à nos ambitions, explique Damien Leclerc, directeur général de La Chablisienne. C’est bien sûr un point de vente, mais c’est aussi un lieu de dégustation et de découverte, un endroit où nous pourrons accueillir une clientèle professionnelle ou passionnée, qui n’a pas toujours la possibilité de se rendre à Chablis. »
Un virage stratégique
Avec cette nouvelle adresse, la coopérative franchit un cap dans sa stratégie commerciale. Jusqu’à présent, La Chablisienne s’appuyait essentiellement sur son site principal à Chablis, sa boutique de Vézelay, les salons spécialisés et ses réseaux de distribution en France et à l’étranger. En s’implantant à Paris, elle cherche à renforcer sa présence directe auprès des consommateurs urbains, curieux et prescripteurs, mais aussi à attirer les touristes étrangers, nombreux à flâner dans le Marais.
Ce virage s’inscrit dans une volonté plus large de la coopérative de s’émanciper des seuls circuits traditionnels de distribution et de valoriser en direct le travail de ses 270 vignerons coopérateurs. Le modèle coopératif, parfois perçu comme moins prestigieux que celui des domaines familiaux, trouve ici une forme de reconnaissance en investissant un lieu emblématique au coeur de la capitale. L’investissement s’accompagne également d’une attention portée à l’image de marque. La façade du magasin reprend les codes graphiques de La Chablisienne, avec une charte sobre et élégante, mêlant modernité et tradition. Un soin particulier a été apporté à la scénographie du lieu, avec une mise en valeur des bouteilles, des matières brutes (pierre, bois) et une atmosphère propice à la dégustation.
inauguration de la centrale solaire de l’Aéroparc.
Située sur les communes du Territoire de Belfort de Reppe et Fontaine, dans l’enceinte de la ZAC de l’aéroparc, la centrale solaire de Fontaine sera officiellement inaugurée le mardi 8 juillet.
Elle disposera d’une puissance installée de 42,2 MWc. Elle sera composée d’environ 73.000 panneaux répartis sur 33 hectares.
La centrale prend en compte les enjeux environnementaux avec une attention particulière portée aux zones humides, à l’évitement des zones sensibles et à la réutilisation au maximum des pistes de circulation de l’ancien aérodrome. L’activité de pâturage ovin sera maintenue sous les panneaux.
Cette installation de production d’électricité d’EDF Power Solutions contribue à l’atteinte de l’objectif fixé par la Région Bourgogne Franche-Comté qui vise, d’ici à 2030, 69 % d’énergies renouvelables installées.
Grand Besançon Métropole lance un projet solaire innovant.
Dans le cadre de son Plan climat air énergie territorial, Grand Besançon Métropole s’engage à devenir en 2050 un territoire à énergie positive, en produisant 100 % de son énergie à partir de sources renouvelables, principalement locales. Pour concrétiser cette vision, le site de l’ancien centre d’enfouissement de déchets inertes de Chalezeule va se transformer en une centrale solaire au sol, baptisée « Les Andiers ». Ce projet, dont la mise en service est prévue début 2026, produira près de 3.350 MWh d’électricité chaque année, ce qui équivaut à la consommation annuelle d’environ 1.700 personnes.
Ce projet innovant offre également une opportunité aux citoyens : ils pourront investir directement dans cette installation solaire. Deux options s’offrent à eux pour participer à cette aventure écologique et économique :
soit devenir associé engagé en adhérant à la société Erciso, partenaire du projet. En souscrivant, chaque investisseur contribuera au développement de la centrale tout en percevant des dividendes issus des résultats de la société.
soit investir via une plateforme de financement participatif en ouvrant un livret d’épargne, avec la possibilité de recevoir un retour sur l’investissement. Cette option sera prioritairement réservée aux résidents de Grand Besançon Métropole. Deux réunions d’information sont organisées soit en présentiel le 30 juin à la Maison commune de Chalezeule, soit en visioconférence le 3 juillet.
L a Chablisienne investit une carrière à Cravant destinée au stockage de ses vins.
En décembre 2023, un siècle après sa création, la coopérative de Chablis s’est portée acquéreur d’une ancienne carrière située sur le territoire de la commune de Cravant, le long de l’Yonne. Après 16 mois de travaux d’aménagement, ce nouveau lieu de stockage d’une capacité de stockage d’environ 10 m de bouteilles est à présent opérationnel. Avec un taux d’humidité constant de 95 % et une température avoisinant les 10,5 degrés, le lieu bénéficie des conditions idéales pour le vieillissement des vins ainsi que d’une histoire singulière. « Avant la Seconde Guerre mondiale, cette carrière était occupée par l’Armée de l’air française, il s’agissait d’une usine de fabrication d’avions. Elle sera ensuite occupée par les Allemands. Après la guerre et jusque dans les années 70, elle deviendra la propriété de l’État. Nous avons trouvé cela beau de réhabiliter un site historique qui était un peu à l’abandon », a déclaré Damien Leclerc, le directeur de la Chablisienne à nos confrères du site spécialisé Terre de vins.
Le Premier ministre a reçu, le 17 juin à l’Hôtel de Matignon les lauréates du concours « 101 femmes entrepreneures 2025 » en présence de d’Aurore Bergé, ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations et d’Astrid Panosyan-Bouvet, ministre chargée du Travail et de l’Emploi, ainsi que de Nicolas Dufourcq. Cette initiative a pour but d’inciter les femmes à se lancer dans l’entrepreneuriat, ainsi qu’à valoriser l’ensemble des dispositifs de soutien qui maillent le territoire. Accompagnées par au moins une structure d’appui à la création reprise d’entreprise, les 101 lauréates ont été sélectionnées par des jurys régionaux parmi près de 900 candidates et sont toutes au début de leur aventure entrepreneuriale : porteuses de projet, créatrices ou repreneuses d’une entreprise depuis moins de trois ans.
En BFC, les lauréates sont les suivantes : Yonne : Marie Aubin, Bonne com ; Nièvre : Claire Tabbagh, L’officine du cacao ; Territoire de Belfort : Maryam Rezaei, Denispection (analyses, essais, inspections techniques) ; Côte d’Or : Delphine Morandet, Possible ; Haute Saône : Virginie Saillard, Les escargots du Moulin (coup de coeur) ; Jura : Karolina Alison, Archeli ; Doubs : Olivia Burtheret, Aydonie (Impression 3D) ; Saône et Loire : Christine Mouyon, Atelier 2082 (peintre muraliste).
Un nouveau directeur départemental du Sdis. Le colonel hors classe Larry Ouvrard est devenu, le 19 juin, le nouveau directeur départemental du Sdis. Il en assume désormais la responsabilité opérationnelle, administrative et humaine. Sa prise de fonction s’inscrit dans un contexte d’adaptation permanente du service aux enjeux de sécurité et de résilience du territoire. Né en 1977, Larry Ouvrard est diplômé de l’École nationale supérieure des officiers de sapeurs-pompiers (ENSOSP).
Le président du Conseil départemental François Sauvadet et la directrice générale de Voies Navigables de France Cécile Avezard se sont entretenus afin d’aborder notamment l’avenir de la partie centrale du canal de Bourgogne. Compte tenu de sa faible fréquentation ces dernières années et du nombre important d’ouvrages à entretenir, VNF a engagé depuis fin 2023 une démarche de concertation sur l’équipement cofinancée par les collectivités concernées. Le département avait alors affirmé son opposition à l’hypothèse d’une fermeture du tronçon, compte tenu des enjeux qui y sont liés, notamment en termes de préservation du patrimoine et d’attractivité du territoire. François Sauvadet et Cécile Avezard se sont finalement accordés sur le fait qu’il n’y aura pas de fermeture sur le canal de Bourgogne. « Un travail commun sera conduit dans les prochains mois pour établir un protocole précis et détaillé des investissements à réaliser, écluse par écluse, bief par bief, afin de pérenniser ces ouvrages sur les moyens et longs termes. Le département est prêt à ouvrir la réflexion sur la mutualisation des moyens s’il le faut, pour pérenniser ce tronçon historique du canal de Bourgogne », explique le président François Sauvadet. Au niveau national, François Sauvadet, président de Départements de France, annonce par ailleurs qu’il travaillera avec VNF pour intégrer notamment l’identification des points singuliers du patrimoine fluvial, pour mieux les valoriser.
Crossject avance dans le développement de la version pédiatrique de Zepizure.
La société pharmaceutique spécialisée dans les dispositifs dédiés aux situations d’urgence fondés sur sa technologie propriétaire d’auto-injecteurs sans aiguille (Zeneo), progresse dans le développement de sa version pédiatrique (Zepizure junior). Dans le cadre du plan de développement convenu avec Barda (sécurité civile aux Étas-Unis), Crossject a réalisé une étude d’échographie clinique sur 90 adultes et enfants ainsi que des études sur ses modèles expérimentaux ex-vivo qui reconstituent la peau et les couches sous-cutanées et musculaires chez l’enfant. Ces tests ont permis de calibrer avec succès la pression à exercer par les générateurs de gaz du dispositif Zeneo pour expulser la solution médicamenteuse avec la profondeur de pénétration appropriée et ont confirmé l’adéquation du dispositif dans son mode « Junior ». En outre, des études antérieures sur les facteurs humains avaient inclus un nombre important d’enfants de plus de 8 ans et avaient démontré avec succès leur capacité à utiliser efficacement l’auto-injecteur Zeneo. « La pédiatrie est stratégique pour Crossject car nous voulons faire de Zepizure la norme de soins dès le début de la maladie chronique. Nous sommes impatients de progresser avec la FDA et d’avoir des solutions cliniques concrètes à proposer à la communauté des patients pédiatriques », mentionne Patrick Alexandre, président du directoire de Crossject.