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À Joigny, la culture n’est pas une option, mais un engagement. Avec le label « 100 % Éducation artistique et culturelle (EAC) » , la ville affirme sa volonté de rendre l’art et la création accessibles à tous. Le forum des acteurs culturels, qui s’est tenu le 26 mars, s’inscrit dans cette dynamique. « Cet événement est essentiel pour renforcer l’essor culturel local. Il permet aux acteurs du territoire de se rencontrer et de construire ensemble une offre plus cohérente et accessible », souligne Sébastien Lardet, conseiller action culturelle et territoriale pour la Nièvre et l’Yonne à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) de Bourgogne Franche-Comté. 


Cette troisième édition de la Journée départementale pour l’éducation artistique culturelle visait à structurer davantage les actions engagées et à favoriser de nouveaux projets collaboratifs entre les différents acteurs présents, tels que la Métairie Bruyère. « Ce forum est une formidable opportunité pour connecter les acteurs du territoire et montrer que la culture est un levier puissant pour le développement local. Nous avons ici un vivier d’initiatives qui ne demandent qu’à être mises en lumière et soutenues », explique Élise Klimacek, chargée de médiation pour le centre d’art graphique poyaudin. « Ce n’est pas un simple événement isolé, mais bien un point d’ancrage pour structurer nos projets sur le long terme et donner aux habitants de l’Yonne un accès toujours plus large à la culture. »

Insérer la culture au coeur de l’éducation

« L’éducation artistique et culturelle n’est pas un supplément d’âme, elle fait partie intégrante de la formation des citoyens de demain », explique Jean-Baptiste Lepetz, directeur académique des services de l’Éducation nationale (Dasen) de l’Yonne. Selon lui, les initiatives comme ce forum sont « capitales ». À ce titre, l’Éducation nationale souhaite intégrer davantage de projets culturels dans les parcours scolaires. Il s’agit de permettre aux élèves d’accéder à différentes formes d’art, de développer leur sensibilité et leur esprit critique. « Nous voulons aller au-delà des sorties ponctuelles au musée ou au théâtre. Il s’agit d’une immersion culturelle qui doit s’inscrire dans la durée », ajoute-t-il.

L’objectif est de multiplier les résidences d’artistes en milieu scolaire, d’encourager les pratiques artistiques collectives et de favoriser la rencontre avec des créateurs. « Nous devons renforcer les liens entre le monde de la culture et celui de l’éducation, pour que la culture ne soit pas un privilège mais un droit accessible à tous les élèves », conclut Jean-Baptiste Lepetz. Les échanges au sein du forum ont mis en évidence l’engagement de l’ensemble des acteurs à concrétiser ces ambitions et à faire de l’éducation artistique et culturelle un véritable levier d’émancipation pour la jeunesse.

Verallia France, filiale du groupe Verallia, leader européen et troisième producteur mondial d’emballages en verre pour les boissons et produits alimentaires, annonce la fin des travaux de rénovation et la remise en service du four n°1 de la verrerie de Chalon-sur-Saône. Suite à la rénovation partielle du Four 3 en 2022, la rénovation complète du four n°1 du site de Chalon-sur-Saône constitue une étape clé du plan de modernisation de cette usine emblématique du bassin Chalonnais. Spécialisé dans la production de verre blanc, le four n°1 produit des bouteilles emblématiques des régions Bourgogne et Bordelaise, ainsi que des spécialités destinées aux marchés des spiritueux, des vins tranquilles et des produits alimentaires, distribuées localement, nationalement et à l’international. Grâce à cette modernisation, le four bénéficie d’une technologie « super boostée », augmentant la part d’électricité dans son mix énergétique. Celle-ci passe désormais à 25 %, réduisant ainsi la consommation de gaz naturel à 75 %. Cette évolution permet au site de Chalon-sur-Saône de diminuer de 11 % ses émissions de CO₂, tout en augmentant sa puissance électrique de fusion.

C’est le premier des 13 établissements que possède Schiever dans l’Yonne à afficher sa nouvelle enseigne. Après 27 ans de collaboration commerciale, le groupe avallonnais (1,3 Md € de chiffre d’affaires) - premier employeur du département avec 2.000 collaborateurs répartis sur le territoire - a en effet fait le choix stratégique de quitter le groupe Auchan pour rejoindre la coopérative bretonne. L’an dernier, Schiever avait, par ailleurs, confirmé sa volonté de se diversifier dans le secteur de la grande distribution en se portant acquéreur de 25 magasins Intersport, quatre magasins Blackstore et deux Go Sport, réduisant à 80 % la part de son activité dans l’alimentaire

Mardi 1er Avril, Cécile Détang-Dessendre est devenue la nouvelle présidente du Centre Inrae de Bourgogne Franche-Comté. Économiste de formation et spécialiste des dynamiques économiques des espaces ruraux, elle prend la suite de Nathalie Munier-Jolain, nouvellement nommée à la direction générale d’Inrae après huit années d’exercice sur ces mêmes fonctions. Diplômée de l’Université de Bourgogne, Cécile Détang-Dessendre connaissait déjà bien le centre Inrae BFC puisqu’elle y est entrée en 1994. Durant son parcours professionnel, elle a notamment été directrice de l’unité mixte de recherche du Centre d’économie et de sociologie appliqué à l’agriculture et aux espaces ruraux de 2009 à 2013 à Dijon. Elle a consacré une trentaine d’années à la science et au pilotage scientifique, au service des mondes agricoles et ruraux. Nommée pour un mandat de quatre ans, elle poursuivra le travail engagé avec les partenaires de l’Enseignement supérieur et de la recherche, l’université de Bourgogne Europe, l’institut Agro Dijon, le CNRS et le CHU Dijon-Bourgogne. Elle veillera également à entretenir et développer les partenariats avec le monde économique et les instances territoriales, locales et régionales, pour des recherches porteuses de solutions au service d’une agriculture durable et d’une alimentation saine et diversifiée.

Le célèbre petit guide rouge guigné par les meilleurs chefs a dévoilé lundi 31 mars les restaurants récompensés par les célèbres étoiles. Maxime Lesobre, que nous avions rencontré en août 2024 ne cachait pas sa détermination de rejoindre la galaxie des meilleurs cuisiniers. Nous avions intitulé son portrait « L’Étoile montante de Courban », pari réussi ! Le chef du Château de Courban qui a réorganisé l’approvisionnement et resserré la carte permet à l’adresse de la haute Côte-d’Or de retrouver son macaron perdu l’année dernière à la suite du départ de l’ancien chef Nicolas Thomas.

Dans le cadre du renouvellement de ses contrats d’exploitation sur la période 2025-2031, Grand Besançon Métropole (GBM) a intégré un critère de performance environnementale des véhicules. La société GTV Transports basée à Serre-les-Sapins, s’apprête ainsi à convertir cinq de ses autocars thermiques en véhicules 100 % électriques. Ce « retrofit électrique » permettra de prolonger leur durée d’exploitation jusqu’à 18 ans, contre 12 ans pour les véhicules thermiques. Pour mener à bien cette transition, GTV Transports a choisi Retrofleet, entreprise lauréate de l’appel à projets « I-nov » de l’Ademe pour son programme Retrofit écosystème au service de l’environnement et des territoires (Reset). Conçu, homologué et fabriqué en Savoie, le système de batteries offrira une autonomie de 150 à 200 km, selon les conditions d’exploitation (type de conduite, charge embarquée, besoins en confort thermique) et garantira une réduction de 87 % des émissions de CO2. Toujours sur incitation de GBM, GTV, Mobilités BFC et Keolis Monts Jura, ont généralisé l’usage du biocarburant à base d’huile végétale hydrotraitée en remplacement du gazole. Mobilités BFC a déjà mis en circulation deux autocars hybrides thermique-électrique sur les secteurs Nord et Est du Grand Besançon. dix au total sont attendus d’ici à 2031.

En décembre, les cyclones Chido et Dikeledi ont causé d’importants dégâts sur le réseau électrique de l’archipel de Mayotte. Les bénévoles d’Électriciens sans Frontières ont rapidement été sollicités par d’autres associations déjà présentes sur place pour fournir des équipements électriques essentiels. 46 groupes électrogènes et trois tonnes de matériels électriques (kits solaires, câbles, coffrets de raccordement…) ont été mobilisés. Ils ont permis d’auditer et de sécuriser des installations électriques intérieures des structures médico-sociales, de travailler en appui à l’électrification des logements d’urgence et de distribuer 2.000 lampes solaires aux familles prioritairement identifiées. Face à cette situation dramatique, les élus du Bureau du Siceco, territoire d’énergie Côte-d’Or ont décidé d’attribuer unanimement une aide exceptionnelle de 10.000 € afin d’aider les bénévoles de l’association dans leurs actions menées sur place. Le Siceco est partenaire de la délégation Bourgogne Franche-Comté d’Électriciens sans Frontières depuis sa création en 2008.

Si sur le plan sportif, la saison dernière a été une réussite avec une remontée en Ligue 1, le club icaunais a néanmoins vu ses finances plonger lors des deux saisons précédentes. Son résultat net est passé de -7,60 M€ à -13,90 M€ avant les opérations de transfert de joueurs. Le recul des recettes en est la principale cause avec des « droits TV » qui ont chuté de 13,60 M€ à 7,10 M€, une conséquence directe du passage de la Ligue 1 à la Ligue 2 où les dotations télévisuelles sont bien moindres. Les revenus issus des sponsors et de la publicité ont suivi la même tendance, passant de 8 M€ à 5,50 M€, tout comme les recettes les jours de matchs qui s’effondrent de 3,40 M€ à 1,90 M€. Malgré la chute vertigineuse des droits TV cette année en Ligue 1, le maintien quasi-assuré de l’AJA dans l’élite du football français ainsi que son projet d’agrandissement du stade Abbé-Deschamps doit lui permettre d’amorcer un redressement de ses finances.

« La direction de Jtekt a présenté aux représentants du personnel un plan de sauvegarde de l’emploi, impliquant la suppression de 85 postes de travail (sur 550) sur le site de Chevigny-Saint-Sauveur. Je suis particulièrement préoccupé par cette annonce , écrit Guillaume Ruet, maire de la commune et conseiller départemental. La Ville de Chevigny, en concert avec Dijon Métropole, sera très vigilante au respect de la promesse de l’entreprise de minimiser l’impact social de cette restructuration. Plus globalement, la multiplication des annonces de suppressions d’emploi dans l’industrie dans notre agglomération et dans notre Département (Tetra Pak à Longvic, PPG - la Seigneurie à Genlis, site de production de Boiron à Quetigny, Valti à Montbard…) comme dans l’ensemble du pays est très préoccupante et nécessite une réaction rapide et forte au plus haut sommet de l’Etat, afin de soutenir nos entreprises et usines françaises qui sont fragilisées par l’instabilité économique que nous traversons ».
« Nous appelons la direction de Jtekt à engager un dialogue constructif avec les représentants des salariés et à explorer toutes les possibilités de reclassement et de reconversion professionnelle », écrivent pour leur part François Rebsamen, en tant que président de Dijon Métropole et la maire de Dijon Nathalie Koenders. Nous croyons à l’avenir de cette belle entreprise et réaffirmons notre engagement à soutenir les mesures qui pourraient être mises en place pour atténuer les conséquences de cette réorganisation. Nous restons disponibles pour toute discussion et collaboration afin de trouver des solutions viables et pérennes pour les salariés de JTEKT et pour l’ensemble de notre territoire ».

Après quatre ans d’activité au n°11 de la rue du Maréchal-Leclerc, le tierslieu associatif déménage avenue de la République, dans l’ancienne médiathèque Max-Pol-Fouchet, à la Morlande. « Desservi par la navette et accessible aux personnes à mobilité réduite, ce lieu possède de nombreux atouts », explique la ville d’Avallon. « Dans cette Fabrik 2.0, vous pourrez retrouver : un espace d’accueil assorti d’un espace de convivialité avec accès Wi-Fi, de trois bureaux privatifs, d’un espace de coworking pouvant accueillir une dizaine de personnes simultanément, d’un espace réservé à des formations collectives ou des réunions et un espace vidéoludique. »

Déjà présentes dans de nombreuses villes de Bourgogne Franche-Comté (Dijon, Sens, Besançon, Belfort et Tournus), l’application mobile, disponible sur iOS et Android, qui offre la possibilité aux automobilistes de gérer et de payer leur stationnement à distance est désormais disponible dans la sous-préfecture de l’Yonne. Ainsi, les 1.200 places de stationnement payantes sont éligibles à ce service dématérialisé. « Une nouvelle fonctionnalité est également disponible pour les utilisateurs iOS, PayByPhone Protect : il est désormais possible de protéger les objets personnels et les vitres des véhicules contre le vol et les dommages pendant le stationnement », précise l’opérateur qui a conclu un partenariat avec la compagnie internationale Chubb. PaybyPhone compte plus de 1.400 clients en Amérique du Nord, au Royaume Uni, en France, en Allemagne, en Suisse et en Irlande. « À ce jour, plus de 95 millions d’automobilistes dans le monde nous ont fait confiance pour leurs paiements. »

Le groupe Chimirec, spécialiste de la gestion des déchets, annonce la nomination de Sébastien Dupuy au poste de directeur Centre-Est.
Âgé de 48 ans, Sébastien Dupuy débute sa carrière en 2000 chez Veolia, en tant que commercial grands comptes, avant de rejoindre ISS Environnement en 2005 comme chef des ventes. En 2010, il intègre Chimirec, où il évolue à travers plusieurs postes stratégiques, notamment en tant que responsable commercial régional, puis directeur adjoint.
Implanté depuis plus de 20 ans sur le site de Montmorot (39), qui fait office de siège social, Chimirec est un spécialiste de la collecte, du tri et de la valorisation des déchets dangereux et non dangereux. La filiale exploite également deux autres sites : Châtillon-sur-Chalaronne (01) et Bouvesse-Quirieu (38), inauguré en 2023.
Grâce à ses trois plateformes de tri et de transit, le groupe offre un service de proximité à ses clients répartis sur 14 départements. Ces installations intègrent des technologies avancées en matière de gestion environnementale, incluant aires étanches, bassins de confinement, systèmes de détection incendie et récupération des eaux pluviales. En 2024, la filiale a collecté 24.240 tonnes de déchets et emploie 110 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires de 25,2 M€.

L’entreprise, implantée à Vallet (44) et à Chalon-sur-Saône, spécialisée dans la fabrication de cartes et systèmes électroniques, prestations de conception et d’intégration d’ensembles électroniques, enregistre une progression notable dans un de ses secteurs cibles, l’aéronautique, avec une hausse de son chiffre d’affaires sur ce marché, en hausse de plus de 30% en 2024. L’année dernière, Selva Électronique avait annoncé un investissement de 2,3 M € pour moderniser ses équipements de production, un effort stratégique visant à répondre aux exigences croissantes du marché. Dans le même temps, l’entreprise, qui emploie 170 collaborateurs, a renforcé ses effectifs : « Nous avons créé de nouveaux postes au plus près des projets de nos clients leur assurant ainsi un service personnalisé et réactif, indique David Hériaud, président. Nos équipes démontrent une vraie motivation lorsqu’il s’agit de développer leurs compétences dans le contrôle des procédés spéciaux ».

Signée officiellement il y a quelques semaines à Servicat, dans l’Yonne, entre les partenaires du Réseau pour l’emploi (France Travail, les missions locales et Cap Emploi) et les Esat (Établissement et service d’accompagnement par le travail), cette convention vise à structurer et renforcer des pratiques déjà existantes. « Il s’agit de formaliser des liens entre les acteurs du service public de l’emploi et les ESAT afin d’offrir plus d’opportunités aux travailleurs handicapés », explique David Sautereau, directeur de Cap Emploi. L’objectif est clair : accompagner les personnes souhaitant intégrer le monde du travail ordinaire tout en conservant la possibilité pour d’autres de rester en Esat si elles le souhaitent. Cette démarche s’inscrit dans la dynamique du plan de transformation des Esat et dans la loi pour le plein emploi. « L’idée est de permettre à chaque public d’avoir accès à un accompagnement adapté », souligne David Sautereau. La convention actée dans le département sera suivie d’une première évaluation dès le mois de juin, avec des indicateurs concrets comme le nombre de travailleurs accompagnés vers le monde professionnel et les immersions réalisées en entreprise.

La 64e édition de la vente aux enchères des Hospices de Nuits-Saint-Georges qui s’est tenue le dimanche 9 mars au château du Clos de Vougeot a permis de récolter 856.950 € au total, hors pièce de charité. Ce montant se décompose en 796.000 € pour la vente des pièces du millésime 2024, soit un prix moyen de la pièce en forte hausse (+41,5 %), proche du record absolu, auquel s’ajoutaient cette année 60.950 €, issus de la vente de millésimes décalés du domaine. La pièce de charité a quant à elle totalisé provisoirement 50.905 € de vente (vente hors enchères, par souscription). Animée pour la première fois par Idealwine, leader mondial de la vente aux enchères de vins en ligne, la vente a permis au vin le plus cher, la cuvée de Nuits-Saint-Georges 1er cru Cuvée des Sires de Vergy, d’atteindre 55.000 €, là où cette même cuvée avait atteint 41.000 € l’an dernier dans le millésime 2023 (+34,5 %). Le prix de la pièce de vin blanc, un nuits-saint-georges 1er Cru Les Terres Blanches, a atteint 27.000 € (+28,6 %).\nComme chaque année, une pièce de charité était vendue au profit d’une association caritative : il s’agissait cette année de « Coucou nous voilou », qui oeuvre à améliorer le quotidien des enfants et adolescents hospitalisés, parrainée par la comédienne et humoriste Chantal Ladesou et le sportif et commentateur Philippe Candeloro. Cette pièce de charité, un nuits-saint-georges 1er cru Les Terres Blanches, vendue par souscription, sans enchères, a permis de récolter 50.905 € (221 bouteilles souscrites, montant provisoire) ; de plus, un coffret de deux bouteilles de nuits-saint-georges 1er Cru 1955 et 1959, offertes au profit de l’association par la maison Édouard Delaunay, ont été adjugées 2.000 €.\nLe millésime 2024 des Hospices de Nuits conjugue « superbe qualité et grande rareté », assurent Idealwine et Les Hospices de Nuits dans un communiqué commun. En effet, « seules 36,5 pièces ont été produites (35,5 vendues aux enchères + pièce de charité), contre 150 mises en vente l’année passée (144 vendues) et 160 en 2023 ». Guillaume Koch, directeur des Hospices civils de Beaune, se réjouit : « Nous sommes très heureux du résultat de la vente, nous espérions une petite augmentation sur les prix des pièces et nous avons eu une belle surprise avec des records. La vente de bouteilles et magnums de millésimes antérieurs a aussi permis à quelques grands amateurs de se faire plaisir. Nous sommes très heureux du résultat, et de la contribution de deux parrains exceptionnels. »