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L’Autorité européenne de sécurité des aliments ne s’oppose pas au renouvellement de l’autorisation du glyphosate.

Europe
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L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), a partagé son avis scientifique concernant le potentiel renouvellement de l’autorisation de l’utilisation du glyphosate dans l’Union européenne. En effet, dans son rapport publié le 6 juillet, l’EFSA n’a identifié aucun domaine de préoccupation critique empêchant ce renouvellement.

Le glyphosate, principe actif du célèbre Roundup de Monsanto-Bayer, est connu pour son efficacité à détruire les mauvaises herbes. C’est en effet l’herbicide le plus utilisé dans le monde. Il est notamment utilisé dans les vergers, les vignobles, les espaces verts en ville et plus généralement sur l’ensemble des cultures de l’Europe.

Or, en 2015, le Centre international de recherche sur le cancer, agence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait classé cette molécule comme « cancérigène probable » pour l’Homme. À l’inverse, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) n’a trouvé aucune preuve scientifique disponible menant à cette conclusion.

En conséquence, cette substance active suscite de nombreuses controverses et préoccupations. De ce fait, l’étude menée par l’EFSA était très attendue. Les 90 experts des États membres ayant travaillé sur ce rapport ont conclu que le glyphosate n’était pas dangereux au point d’être interdit. Plus précisément, il ne présente pas une préoccupation définie comme critique, c’est à dire qu’elle n’affecte pas tous les usages proposés.

Toutefois, les conclusions de l’EFSA n’ont pas fait l’unanimité. Si le géant de l’industrie des pesticides se réjouit des conclusions données par l’EFSA, les défenseurs de l’environnement ne semblent pas les accepter puisque les risques environnementaux restent avérés. De ce fait, de nombreuses ONG environnementales ont appelé le gouvernement français à s’opposer à ce renouvellement devant avoir lieu au plus tard le 15 décembre 2023.

En outre, l’avis de l’EFSA constitue un enjeu important puisque les conclusions de l’Autorité européenne serviront de base à l’Union européenne afin que les institutions puissent prendre leur décision sur le renouvellement ou non de l’autorisation d’utilisation du glyphosate sur les cultures européennes.

Pour l’heure, l’Autorité européenne de sécurité des aliments ne donne pas d’avis finalisé sur les risques liés à la consommation alimentaire. En effet, des données restent insuffisantes quant à la quantité de résidus de glyphosate dans les cultures en rotation telle que les carottes ou le blé. Les grandes lignes des conclusions de l’EFSA communiquées à ce jour ne sont donc pas définitives au vue des informations disponibles à ce jour. Beaucoup de questions restent alors sans réponse, notamment au sujet de l’impact général de cet herbicide sur la biodiversité.

Nouveau directeur pour le Centre dramatique national Besançon Franche-Comté.

Hommes et chiffres
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Photo de Tommy Milliot
Tommy Milliot (Crédit : MAN HAAST)

Rima Abdul Malak, ministre de la Culture, en plein accord avec Anne Vignot, maire de Besançon, et Marie-Guite Dufay, présidente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, a donné son agrément à la proposition de nommer Tommy Milliot à la direction du Centre dramatique national Besançon Franche-Comté. Né en 1984, Tommy Milliot est formé à la mise en scène et à la dramaturgie à l’université Paris-Nanterre avant de fonder, à partir de 2014, la compagnie Man Haast et de créer plusieurs spectacles, dont Lotissement qui remporte le prix du jury du festival Impatience en 2016 avant d’être repris au 70e festival d’Avignon.

Tommy Milliot souhaite faire du Centre dramatique national Besançon Franche-Comté une maison de théâtre public ouverte et généreuse à la programmation variée, mêlant grands classiques et créations contemporaines. Tommy Milliot prendra ses fonctions au 1er janvier 2024, succédant ainsi à Célie Pauthe.

Renouvellement de la route départementale 44 sur la commune de Montperreux, dans le Doubs.

Collectivités
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Le département du Doubs engagera à partir du vendredi 18 août des travaux de renouvellement de la couche de roulement en enrobés, le long de la RD 44, entre le carrefour avec la RD 437 et celui de la RD 204, sur la commune de Montperreux, au niveau de Chaon. D’un montant estimé à 225.000 euros, ces travaux seront réalisés sous maîtrise d’ouvrage du département du Doubs. Ce chantier a été confié à l’entreprise Colas Nord-Est.

La réalisation de ces travaux présentés aux communes en mars, nécessite une interruption totale de la circulation pendant une journée pour permettre la mise en œuvre des enrobés dans des conditions optimales. Les travaux de rabotage se feront sous alternat par feux sur la journée du 18 août. Les travaux de reprise des accotements et finitions seront aussi réalisés sous alternat par feux tricolores, après les enrobés.

La déviation mise en place le 22 août (date susceptible de varier en cas de météo défavorable) invitera l’ensemble des usagers à prendre dans les deux sens de circulation, la RD 204 en passant par Montperreux depuis la RD 437 à Chaudron.

Réaffirmation des droits des peuples autochtones.

Europe
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À l’occasion de la Journée internationale des peuples autochtones du monde le 9 août 2023, l’Union européenne a réaffirmé son attachement ferme et constant au respect, à la protection et à l’exercice des droits des peuples autochtones énoncés dans le droit international relatif aux droits de l’homme et dans la déclaration des Nations unies sur les droits des peuples autochtones.

« Puisque, cette année, la Journée internationale est consacrée à la “Jeunesse autochtone en tant qu’agent de changement pour l’autodétermination“, nous célébrons en particulier la participation au débat et la capacité d’agir des jeunes autochtones ».

Cette année, l’Union européenne a, entre autres, investi 2,3 millions d’euros dans une nouvelle initiative, Dialogues de la jeunesse arctique, qui vise à associer la jeunesse arctique et européenne, notamment la jeunesse autochtone, à l’élaboration des politiques et à la prise de décision, pour un avenir pacifique, durable et prospère dans la région, conformément à la politique arctique de l’UE et au plan d’action pour la jeunesse dans les relations extérieures de l’UE.

La Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain a la flamme.

Collectivités
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Avec un parcours dont l’itinéraire fera briller les territoires en passant dans plus de 465 villes pendant 68 jours à partir du 8 mai 2024, le relais de la Flamme Olympique est un rendez-vous très attendu par les Français.

La Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain a à cœur de faire vivre une expérience unique à toutes celles et ceux avec lesquels elles partagent des valeurs de coopération, de solidarité, d’innovation, contribuant ainsi au rayonnement de sa région.

Depuis le 1er juin, un appel à candidature sur une plateforme dédiée est ouvert auprès des clients, des sociétaires, des collaborateurs, mais aussi du grand public, afin que chacun puisse tenter sa chance de porter la Flamme Olympique de Paris 2024.

Déjà plus de 11.000 personnes se sont portées candidates auprès de la Banque Populaire, dont près de 1.000 recensés sur le territoire de Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain. Les candidats ont partagé leur parcours de vie inspirant : engagement en faveur d’une société plus solidaire et inclusive, initiatives pour la protection de l’environnement, actions innovantes ou liées au sport.

Les candidatures restent ouvertes jusqu’au 30 septembre sur le site :
www.banquepopulaire.fr/communication/devenirporteurdelaflamme
Un tirage au sort permettra ensuite de présélectionner les porteurs de la Flamme Olympique avant qu’ils soient officiellement révélés en janvier 2024.

« Mobiviti » facilite le recrutement des travailleurs saisonniers dans les vignes

Entreprises
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Employés durant la saison des vendanges en région BFC. Afin de faciliter la mobilité de ces travailleurs saisonniers, l’association nationale pour l’emploi et la formation en agriculture (Anefa) se mobilise en mettant en place une expérimentation à destination des vendangeurs de la saison 2023 avec le dispositif « Mobiviti ».

L’objectif de cette expérimentation, unique sur le département de la Côte-d’Or, est de mettre en place, en partenariat avec Pôle Emploi, le conseil départemental de la Côte-d’Or, et deux structures d’insertion (SDAT et Sentiers), des circuits de minibus à partir de Dijon pour acheminer 24 vendangeurs sans solution de mobilité vers les domaines viticoles situés autour de Nuits-Saint-Georges et Sud Beaune.

Sans cette mobilité, ils rencontrent des difficultés de retour à l’emploi dès leur candidature et cela freine leur insertion professionnelle pérenne. En louant des minibus, l’Anefa 21 définit, en lien avec les partenaires prescripteurs, le ramassage des bénéficiaires sur des territoires excentrés (Auxonne, Arnay-le-Duc et Chenôve) et les achemine vers les domaines viticoles en recherche de main d’oeuvre pour les vendanges se déroulant cette année autour du 10 septembre.

www.lagriculture-recrute.org

La Poste vend ses essentiels au bureau de tabac

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La Poste noue un partenariat avec le Tabac des Trois Rivières à Is-sur-Tille, propose une nouvelle offre de proximité en partenariat avec La Poste. Ce partenariat vise à offrir aux clients l’essentiel des services de La Poste, six jours sur sept, du lundi au samedi de 8 heures à 19 heures, sur des plages horaires élargies et adaptées aux modes de vie et de consommation du grand public.

Les clients peuvent accéder aux services essentiels de La Poste : achat de timbres, enveloppes et emballages préaffranchis, affranchissement de lettres, colis et recommandés, dépôts des envois postaux, recommandés compris, retrait de lettres recommandées et colis. Ces services de La Poste sont identifiables grâce à une signalétique intérieure spécifique aux couleurs de La Poste. L’installation du point partenaire ne nécessite aucun investissement spécifique de la part du commerçant.

Cette ouverture complète l’offre proposée par le bureau de poste d’Is-Sur-Tille. « Il n’y a pas d’incidence sur la présence postale actuelle, il s’agit d’ un point de contact en plus, qui vient étoffer notre réseau de point de services supplémentaires avec une offre plus restreinte mais bienvenue », explique La Poste, qui élargit ainsi ses partenariats pour étendre et diversifier son réseau de distribution.

Des serrures connectées pour permettre l’accès aux églises

Collectivités
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Par crainte de vandalisme ou de vols, de nombreuses églises restent fermées, y compris durant la période estivale ce qui n’est pas très avenant d’un point de vue du tourisme. Dix églises en Bourgogne, dont trois dans l’Yonne - deux à Migennes et une à Mont-Saint-Sulpice - ont donc adopté un dispositif de serrure connectée qui fonctionne grâce à l’application Sésame-patrimoine. Le principe est assez simple : devant la porte de l’édifice, il suffit d’ouvrir l’application, de s’authentifier (identité et coordonnées bancaires) et de flasher un QR code.

Un code numérique à composer sur le digicode est alors transmis pour permettre l’ouverture de la porte. Pendant la visite, la télésurveillance est stoppée, et se remet en marche dès que les visiteurs sont ressortis. La conservation des données, télétransmises à des sociétés de télésurveillance, répond aux règles de la réglementation RGPD. Pour le moment, le dispositif est au stade de l’expérimentation.

Selon Jean-Christophe Bonnard, délégué régional de la Fondation du patrimoine, il va être déployé à plus grande échelle sur le territoire du Chablisien afin de résoudre les problèmes de "filtrage" des personnes autorisées à avoir accès à l’application, et en particulier les délais avant d’être acceptés par l’application. Un système de vidéosurveillance pour les édifices et patrimoine remarquables est aussi à l’étude.

Le dispositif a bénéficié d’une aide de la région BFC au titre du numérique de 100.000 euros, de l’État pour 50.000 euros, et chaque département expérimentateur (quatre en BFC) a alloué une subvention de 15.000 euros à la Fondation du Patrimoine.

La Rencontre des entrepreneurs de France (REF) 2023 aura lieu le 28 septembre à Dijon

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La 12ème édition de la Ref, organisée par le Medef, aura lieu le 28 septembre 2023 à l’Opéra de Dijon, sous la thématique « Mutation(s) ». Ce thème souligne l’importance des changements en cours dans notre société et dans le monde de l’entreprise, qui nécessitent une adaptation constante et rapide.

Parmi les intervenantes, Agnès Verdier-Molinié, dirigeante de la fondation iFRAP, un think tank libéral, qui est inscrit comme représentant d’intérêts privés auprès de l’Assemblée nationale et Corinne de Bilbao, présidente de Microsoft France, qui interviendra sur l’évolution de l’intelligence artificielle.

Comme chaque année, un concours de pitch aura lieu entre les différentes conférences. Le but est de mettre en avant neuf starts-ups du territoire qui viendront pitcher pendant cinq minutes pour présenter leur projet devant un jury et gagner un an d’adhésion au Medef Côte-d’Or.

Nouvelle directrice générale chez Âges et vie

Hommes et chiffres
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Catherine Jeantet succède à Nicolas Perrette, Thierry Morel et Simon Vouillot, les fondateurs et dirigeants d’Âge et vie depuis 2008. Fondé à Besançon, Âge et vie propose des solutions d’habitat partagé pour personnes âgées, en milieu rural et de petite taille, et compte actuellement près de 300 maisons dans toute la France dont 37 en Franche-Comté et près de 1.700 colocataires (87 ans en moyenne).

Diplômée en droit et administration publique, Catherine Jeantet a débuté son parcours professionnel dans l’activité télécoms avant de rejoindre le secteur des services à la personne en 2008.

Dim relocalise son secteur chaussant à Autun

Entreprises
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Photo de Rémy Rebeyrotte, Vincent Chauvet et François Riston
Lors de l’inauguration, étaient présents le député Rémy Rebeyrotte et le maire d’Autun Vincent Chauvet (à gauche sur la photo) ainsi que François Riston, président Europe de Dim Brands International (au premier plan à droite). Crédit : LinkedIn DBI.

Le groupe DBI - Dim Brands International, qui avec ses 500 millions de chiffre d’affaires en 2022 s’affiche comme « première marque de sous-vêtements française » a annoncé mercredi 19 juillet la relocalisation depuis l’Allemagne la production de 19 millions de paires de collants de la marque Nur Die par an sur son site historique d’Autun.

L’usine au 600 salariés produisait déjà 60 millions de paires de collants par an ; avec cette relocalisation, plus de 90% de la production des chaussants seront donc fabriqués à Autun. « Nous avons appuyé sur le bouton marche des 248 machines de tricot et désormais la marque Nur Die, à destination principalement du marché allemand, est fabriquée en France », s’est réjoui le maire d’Autun Vincent Chauvet sur son fil LinkedIn. Cette relocalisation ne s’accompagne d’aucune création d’emploi, mais vient consolider le site saône-et-loirien, fort chahuté dans les années 2014-2015.

Fadila Khattabi nommée ministre

Hommes et chiffres
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Jusqu’ici députée de la 3e circonscription de la Côte-d’Or et présidente de la commission des Affaires sociales à l’Assemblée nationale, Fadila Khattabi devient ministre déléguée chargée des personnes handicapées, auprès de la ministre des Solidarités Aurore Bergé. La Côte-d’Orienne remplace Geneviève Darrieussecq.

Incendie : intensification et risque

Collectivités
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Des avancées législatives pour étendre l’arsenal contre le risque d’incendies en forêts. Le Sénat a travaillé au sein d’un commission mixte paritaire sur la lutte contre l’intensification et l’extension du risque incendie.

Parmi les rapporteurs, la sénatrice de Côte-d’Or Anne-Catherine Loisier et le sénateur de la Haute-Saône Olivier Rietmann se félicitent de la mise en place « d’une stratégie interministérielle et territoriale de défense des forêts et des surfaces non boisées contre les incendies ; d’un cadre réglementaire adaptable en continu pour tenir compte de l’extension du risque incendie à l’ensemble du territoire national ; de nouveaux outils de régulation entre la forêt et ses interfaces (avec les zones habitées et les infrastructures par la clarification des obligations légales de débroussaillement (OLD), avec les surfaces agricoles) ; d’une intégration plus cohérente du risque incendie dans la gestion des forêts et d’une écoconditionnalité des financements publics destinés à la forêt et de plusieurs aides fiscales (exonération de TICPE pour les véhicules des services d’incendie et de secours, extension du DEFI forêt à 24 000 petits propriétaires…). »

Cependant, la commission regrette tout d’abord l’exclusion des collectivités locales du dispositif de réduction de cotisations patronales accordé en contrepartie de la mise à disposition d’employés sapeurs-pompiers volontaires pour les services d’incendie et de secours.

En n’incluant pas les collectivités, et notamment les communes rurales pour lesquelles une telle mise à disposition constitue une charge non négligeable, la sécurité civile se trouve privée d’un vivier considérable de sapeurs-pompiers volontaires, au nom de considérations budgétaires court-termistes, alors même que les études sur la « valeur du sauvé » montrent qu’un euro investi dans la prévention et la lutte contre les feux de forêt en rapporte 20 à 25 fois plus.

La commission prend également acte avec regret du retrait du texte de compromis du crédit d’impôt pour dépenses de travaux réalisés en application des obligations légales de débroussaillement (OLD), à l’initiative de l’Assemblée nationale.

La création de ce crédit d’impôt, adopté à l’unanimité par le Sénat, aurait permis de provoquer un véritable électrochoc pour inciter les propriétaires à réaliser leurs OLD, pour préserver nos forêts et protéger les habitations dans un contexte où ce sont seulement 30 % de ces OLD qui sont aujourd’hui respectées.

Ce crédit d’impôt aurait enfin constitué un coup de pouce bienvenu pour les foyers modestes, pour lesquels les travaux de réalisation d’OLD, représentent un coût particulièrement prohibitif.

« Le Sénat regrette que, sur ces sujets cruciaux, le texte ne soit pas allé au bout de sa logique, mais les débats de l’automne prochain autour du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2024 seront l’occasion, pour le président et les rapporteurs, de rappeler l’attachement du Sénat à ces mesures, dans la droite ligne de la position exprimée sur cette proposition de loi. »

La préfecture restreint l’usage des feux d’artifice

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Le Préfet de Saône-et-Loire a adopté un arrêté interdisant les feux d’artifice causant des troubles à l’ordre public et présentant un danger pour la sécurité des biens et des personnes. Cette mesure fait suite aux épisodes de violences urbaines observés depuis le 28 juin.

L’arrêté interdit l’acquisition, l’utilisation, le transport, la cession et la vente d’artifices de divertissement et d’articles pyrotechniques spécifiques, à l’exception des feux d’artifice de la fête nationale qui seront autorisés s’ils sont tirés par des professionnels.

La fabrication de céramiques YukiAndYoko

Entreprises
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Photo de Charlotte
(Crédit : DR)
Photo d'une des créations de YukiAndYoko
(Crédit : DR)

Dans son atelier en Bourgogne, Charlotte s’attèle à la fabrication de céramiques. Produites en petites séries d’objets de décoration et d’art de la table, les pièces en céramique YukiAndYoko sont durables et solides, afin d’être passées aux générations futures.

Charlotte nous parle de sa création nominée pour une récompense : « Parmi mes créations, l’une d’entre elles a été particulièrement remarquée et m’a valu d’être sélectionnée comme finaliste. Il s’agit du bol fleuri, cette pièce occupe une place centrale sur votre table pour accueillir votre granola matinal ou vos apéritifs entre amis. Ce bol incarne la nature à travers ses pétales découpées à la main, une par une, avec un couteau. Chaque pièce est unique et possède un charme particulier. »