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La Ville de Besançon a obtenu le label « 100 % Éducation Artistique et Culturelle » des ministères de la Culture et de la Communication ainsi que de l’Éducation Nationale et de la Jeunesse. Ce label valorise les collectivités engagées dans des projets qui facilitent la rencontre des jeunes avec les artistes, les œuvres et les structures qui animent la vie culturelle de leur territoire. Depuis 2014, la ville de Besançon agit en faveur de ce développement à travers le dispositif pédagogique des Parcours culturels.

Chaque année, il permet aux élèves des écoles publiques élémentaires et maternelles de découvrir un domaine artistique et culturel. Tournés vers le spectacle vivant, la musique, les arts visuels, ou encore le patrimoine, les sciences ou la citoyenneté, il propose une approche pluridisciplinaire du monde des arts et de la culture. Cette diversité se retrouve aussi dans les activités proposées : ateliers, pratiques artistiques, échanges, médiation… En 2022-2023, 71 % des élèves de classes publiques élémentaires et 89 % des élèves de classes publiques maternelles (du quartier de Planoise) bénéficient des Parcours culturels.

Accompagnées par la communauté d’agglomération du grand Sénonais, douze familles se sont lancés un défi : réduire de 40% leur production de déchets. Pendant cette période, ces douze familles seront accompagnées par la communauté d’agglomération du grand Sénonais pour participer à cette expérience, avec des ateliers, des réunions et des visites de structures en rapport avec l’expérience, notamment le centre de tri.

Le secteur de Temis va bénéficier d’un programme de végétalisation. Ce sont près de 5.000 mètres carrés qui vont être plantés de 194 arbres de différentes essences, de 1.940 arbustes et de plantes vivaces positionnés en alternance, ainsi que d’espaces herbés, ceci afin que toutes les strates végétales soient présentes et instaurent de la biodiversité. En conformité avec les objectifs de développement durable, ces plantations vont permettre une continuité de la trame verte dans les aménagements urbains déjà réalisés. Les trois mois de travaux débuteront en novembre sous la maîtrise d’œuvre de Grand Besançon Métropole.

Une convention territoriale globale (CTG) vient d’être signée entre la Caf (Caisse d’allocations familiales) de l’Yonne, le PETR (Pôle d’équilibre territorial et rural) du Pays avallonnais, les deux communautés de communes et la ville d’Avallon. Le document fixe un certain nombre de caps et vise à coordonner les politiques du territoire sur des thématiques ciblées : vivre ensemble et qualité de vie sur le territoire, penser/construire l’action sociale de façon concertée, construire l’avenir pour et avec les enfants et les jeunes. Des thématiques qui sont déclinées en 47 fiches action, définies en lien avec les publics concernés.

Après deux ans de travaux dans les règles de l’art (appel préférentiel aux entreprises et aux ressources locales), contrariés par la crise Covid, le siège du 11e parc national français, à cheval entre Bourgogne (Côte-d’Or) et Champagne (Haute-Marne) a pu enfin être inauguré à Arc-en-Barrois (52). Une centaine de personnes étaient présentes pour assister au coupé de ruban par Bérangère Abba, ex-secrétaire d’État chargée de la biodiversité dans le gouvernement Castex et la sous-préfète de Langres Emmanuelle Juan-Keunebroek, entourées notamment (de gauche à droite) de Nicolas Schmit, président du parc, de Marc Frot, vice-président du conseil départemental de Côte-d’Or, de Philippe Puydarrieux, directeur du parc national et Philippe Frequelin, maire d’Arc-en-Barrois.

Le siège permettra à la trentaine des salariés d’être opérationnels vis-à-vis du public, des maires du territoire et des usagers de la forêt, mais aussi de répondre aux quatre défis posés dans la charte d’adhésion du parc national : « améliorer la connaissance des patrimoines, des activités humaines et de leurs interactions ; préserver et restaurer les patrimoines pour les générations futures ; accompagner les filières existantes et inciter à l’innovation pour une ruralité vivante et favoriser l’engagement dans un territoire exemplaire et reconnu ». Et être à la hauteur du slogan retenu pour le parc : être un « site de rencontres » entre les hommes et la nature.

Yohann Saillard à ouvert à Besançon au cœur du quartier Battant une boutique-atelier, baptisée « Pile à l’heure » où il présente un large choix de modèles de montres françaises et suisses. L’enseigne propose aussi un atelier réparations rapides, remplacement de piles, pose de bracelet, couronne, cadran… ainsi qu’un service SAV. Un dépôt-vente permet d’acheter également des montres d’occasion.

Le Figaro vient de publier sa nouvelle édition du classement des écoles de commerce, un palmarès qui hiérarchise les établissements visés délivrant le grade de master. Ce palmarès des business schools a pour vocation de permettre aux étudiants de se repérer plus facilement dans les formations existantes dans le domaine du management. Pour élaborer ce classement, Le Figaro prend en compte plusieurs indicateurs comme la qualité de la recherche, le nombre de professeurs, le rayonnement international, l’insertion professionnelle, et les classements internationaux. Aujourd’hui, la majorité des grandes écoles de commerce recrutent leurs étudiants après deux ans de classe préparatoire : prépa ECG ou ECT. À Dijon, l’école de commerce BSB arrive ainsi 18e avec une note globale de 14,6 sur 20, et une première année coûtant quelque 11.500 euros.

Le Crous Bourgogne Franche-Comté, en partenariat avec le Lions Club du district Centre-Est, organise une distribution de vêtements chauds, vaisselles, produits d’hygiène et d’entretien, des téléphones portables sur le campus de Dijon, mardi 6 décembre entre 11 heures et 15 heures. Cette nouvelle distribution résulte de la campagne de dons qui avait été organisée au sein du Crous durant la semaine européenne de réduction de déchets sur le campus Montmuzard, en partenariat avec l’Inrae, l’institut Agro Dijon et l’université de Bourgogne.

Le groupe dijonnais Géotec enregistre une croissance moyenne annuelle de son chiffre d’affaires de 12 %. Et 2022 ne fait pas exception. L’entreprise poursuit l’extension de son réseau d’agences et de filiales et ses effectifs croissent à proportion, pour atteindre 850 personnes au 30 septembre. Pour accompagner sa croissance et maintenir la diversité et la vigueur de ses engagements de qualité de vie au travail et de RSE, le groupe Géotec décide de créer une direction des ressources humaines groupe représentée au comité de direction par Jessica Lagrost-Malet, DRH expérimentée. Elle prend ainsi la tête d’une équipe de dix personnes et assure le management transversal des relais RH dans les filiales.

Le restaurant auxerrois tenu par Estelle et François Liebaert est retenu parmi les bonnes adresses du célèbre guide gastronomique qui salue une jolie adresse à suivre. « Le chef propose un menu-carte de saison bien pensé et attractif, avec un fil conducteur sur chaque assiette, ainsi que quelques touches créatives comme ce merlu de ligne aux saveurs espagnoles. Les assaisonnements sont justes et équilibrés, le visuel est soigné également. Service dynamique et attentionné. » N’en jetez plus !

C’est le 25 mars 2023 que le site mâconnais sera ouvert au public. RBC Architecture et ACL Associés, les architectes ont dessiné un projet facilement identifiable grâce à un totem, inspiré de la vis du pressoir en bois. Haut de 17 mètres, il sera en lui-même une attraction offrant une vue exceptionnelle sur la Saône et une partie de la ville.

Dans le cadre de la Semaine européenne de réduction des déchets qui se terminera dimanche 27 novembre, le Grand site de France Solutré Pouilly Vergisson, site culturel du département de Saône-et-Loire, propose des animations et ateliers gratuits autour des déchets, notamment ceux de l’industrie textile. De quoi repenser les « modes » de consommation.

Pour faire face à la désertification médicale largement constatée dans le territoire, le département de Saône-et-Loire a créé en 2017 son propre centre départemental de santé pour recruter et salarier des médecins. Ce dispositif compte six centres territoriaux de santé renforcés par des antennes pour mailler l’ensemble de la Saône-et-Loire. Après l’ouverture récente d’une deuxième antenne urbaine à Chalon-sur-Saône dans le quartier des Aubépins, c’est le Mâconnais qui déploie aujourd’hui une cinquième antenne dans la commune de Romanèche-Thorins en prévision du départ annoncé du docteur Cousin, médecin généraliste libéral, début 2023. Dans un premier temps, jusqu’au 31 décembre 2022, l’antenne sera dotée d’un cabinet médical au 10 rue des vignes où viendront consulter tous les jours (demi-journée ou journée) deux médecins du centre territorial de santé de Mâcon. À compter de début 2023, un deuxième cabinet de consultations ouvrira pour permettre une plus grande amplitude horaire (antenne renforcée) avec un secrétariat médical.

> Consultation sur rendez-vous uniquement, du lundi au vendredi de huit heures à 20 heures et le samedi de huit heures et midi. Rendez-vous sur doctolib.fr ou au 03.85.21.64.40

L’entreprise bisontine développe Eolife, un dispositif d’aide à la ventilation manuelle, doté d’une intelligence artificielle, intervenant lors de la réanimation cardio-respiratoire. Après avoir réalisée une première levée de fonds de 5,5 millions d’euros, la société s’associe aujourd’hui aux meilleurs experts de la MedTech pour accélérer sa croissance internationale. Le président d’Archeon, Alban de Luca accueille ainsi au sein du conseil d’entreprise : Christian Martin, ex-directeur général du groupe Schiller Medical, et Lourens Verweij, fondateur d’Additio Investment Group et de LSH Access Foundation.

Depuis sa création en 2020 par Stéphane Magnin, l’entreprise bisontine a accompagné plus de 200 projets particuliers et une trentaine de projets professionnels et agricoles. Aujourd’hui, fort d’un certain succès, l’enseigne se dote de deux nouvelles agences. La première sera située à Saint-Laurent en Grandvaux dans le Jura et la seconde à Valdahon dans le Doubs. En 2021, Stma Courtier a créé un pôle « solutions pros » spécialisé dans l’accompagnement des projets professionnels et agricoles. L’implantation des deux nouvelles agences participe à la volonté de Stéphane Magnin d’offrir un maillage territorial fort à ses clients.