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Comme les taxes représentent la majeure partie du prix du carburant (environ 60 % en France), ce sont les pays qui taxent le moins l’essence qui continuent d’afficher les prix les plus bas, à l’image des États-Unis (1,20 dollar par litre pour le Sans Plomb 95, soit 1,15 euro). À l’échelle mondiale, le prix moyen se situait autour de 1,28 euro le litre le 9 mai, démontre une étude de Global Petrol Prices. Et c’est l’Europe qui affiche les prix de l’essence parmi les plus élevés de la planète. La plupart des Européens payent désormais plus de 1,50 euro par litre et le seuil des deux euros a même été franchi dans plusieurs pays comme en Allemagne, au Pays-Bas, au Danemark, en Islande et en Norvège. En France, le prix hebdomadaire moyen s’élevait à 1,90 euro le 9 mai.

Confrontées à la crise sanitaire et à l’accélération de la digitalisation de leur environnement, les entreprises ont dû faire face à la volatilité de leur activité et à la nécessité d’adapter la taille de leurs équipes à l’évolution de leur carnet de commande. Les salariés, quant à eux, ont pris conscience de la nécessité d’entretenir leur employabilité. Un salarié français sur deux (51 %) estime qu’il a besoin d’être mieux formé pour garder toutes ses chances sur un marché du travail qui évolue et sept salariés français sur dix (72 %) indiquent devoir continuer à se former pour maintenir ou augmenter leur capacité à être en poste. Face à ce double constat, Randstad propose 370 contrats en CDI-Intérimaire dans toute la région Bourgogne Franche-Comté dans le BTP, le transport-logistique, l’industrie et le tertiaire.

L’UFR STAPS de Dijon – Le Creusot monte en puissance au plan international avec l’ouverture depuis quatre ans d’une licence Sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) délocalisée en Grèce à Athènes qui compte plus de 300 étudiants grecs inscrits chaque année.

Durant quatre jours, du 12 au 15 mai, Christos Paizis, responsable adjoint de cette licence, a accueilli, pour la première fois, dix étudiants grecs avec leur professeur Spiros Methenitis pour suivre un programme de cours intensifs en physiologie de l’exercice et évaluation de la performance. Les étudiants invités ont également pu découvrir les infrastructures et laboratoires de recherche de l’UFR et notamment tester les outils de haute technologie développés par l’INSERM CAPS u1093.

C’était également le moment idéal pour dresser un premier bilan très positif de ce partenariat avec le City unity college (CUC) d’Athènes, le directeur de la licence délocalisée, Charalambos Papaxanthis et le directeur de l’UFR, Lionel Crognier, et de discuter sur les projets futurs avec la possibilité pour les étudiants grecs de postuler aux masters proposés par l’UFR.

Selon la Chambre régionale des comptes de Bourgogne Franche-Comté, au cours de la période 2014-2020, la ville de Sochaux a présenté des niveaux de recettes et de dépenses par habitant bien supérieurs à ceux des autres communes appartenant à la même strate démographique. Cette situation s’explique par une richesse fiscale historique retirée de la présence sur son territoire des sites industriels du groupe automobile Stellantis (fusion du groupe PSA Peugeot-Citroën et de Fiat Chrysler Automobiles).

Cette force se révèle être également une faiblesse car les cessions et destructions de bâtiments envisagées par le groupe Stellantis dans son projet de modernisation et de rationalisation de ses sites de production pourraient engendrer des pertes de recettes importantes pour la ville dans les années à venir.

La commune a pleinement pris la mesure de ces difficultés : elle a entamé dès 2014 une réduction de ses dépenses de fonctionnement. En conséquence, celles-ci ont diminué de 9,2 % sur la période 2014-2019. Entre 2019 et 2020, la contraction des actions de la ville en raison de la crise sanitaire a en outre permis la réduction supplémentaire de 16,5 % de ces mêmes dépenses. Cependant, l’absence de visibilité précise sur le devenir des emprises du groupe Stellantis, conjuguée aux effets de la réforme des impôts de production, complexifient la réalisation d’une prospective financière pour la commune.

Dans le cadre d’un appel à projet publié par le ministère des Solidarités et de la Santé en novembre, un Centre de formation d’assistant de régulation médicale (CFARM) va ouvrir au 1er septembre au CHU Dijon Bourgogne. Si le Campus Paramédical CHU Dijon Bourgogne est le site porteur du projet, un partenariat permettra de dispenser cette formation sur plusieurs sites  : CHU Dijon, Centre hospitalier William Morey à Chalon-sur-Saône, Centre hospitalier d’Auxerre. D’une capacité d’accueil maximale de 60 élèves, cette formation est ouverte en parcours complet (1.470 heures réparties sur 42 semaines dont 21 théoriques et 21 pratiques en stages) et en parcours partiel (dont validation des acquis de l’expérience) sur une durée de 11 mois. Le projet pédagogique du CFARM de Bourgogne Franche-Comté s’appuie sur l’expertise pédagogique d’assistants de régulation médicale formateurs expérimentés, sur des cours délivrés par des médecins régulateurs et sur des méthodes d’enseignement par simulation.

> Inscriptions ouvertes jusqu’au 1er juillet ici.

Vendredi 20 mai, 33 greffiers stagiaires ont prêté serment à l’École nationale des greffes, à Dijon, en présence du sous-directeur des ressources humaines des greffes Eric Virbel et de la directrice de l’École nationale des greffes Véronique Court. Lors de cette audience, devant une formation du tribunal judiciaire de Dijon, ces greffiers stagiaires ont revêtu leur costume d’audience et juré de bien et loyalement remplir leurs fonctions et de ne rien révéler ou utiliser de ce qui sera porté à leur connaissance à l’occasion de leur exercice.

L’Ademe Bourgogne Franche-Comté, en collaboration avec l’Agence économique régionale et la région, lance un appel à candidatures pour la cinquième édition des Trophées “Éco-innovez en Bourgogne Franche-Comté”. L’objectif est de mettre en lumière les entreprises de la région qui développent un produit, un service ou une technologie prenant en compte les impacts environnementaux. Le prix pour les entreprises  : une vidéo de leur projet et un bonus communication adapté aux différents supports. Tous les inscrits pourront bénéficier d’un accompagnement par l’écosystème des partenaires du concours.

Candidatures jusqu’au 29 mai ici.

L’appel à projet «  Résilience et capacités agro-alimentaires 2030  » vise à réduire la dépendance de la filière agro-alimentaire aux marchés étrangers et à relocaliser certaines productions, par le soutien à des investissements productifs (chaînes de transformation, procédés innovants, nouveaux aliments, structuration de filières alimentaires).

Dossiers à déposer avant le 03 novembre ici.

Les 19 et 20 mai 2022 au campus Campus métropolitain ESTP-ESEO, le Technopole Santenov et ses partenaires organisent le forum IA4Care. Il aura pour sujet l’intelligence artificielle appliquée en santé à Dijon. Ce salon est dédié aux enseignants-chercheurs, professionnels de santé, entreprises et startups, aux cadres d’établissements de santé et experts actifs et intéressés par les enjeux des applications de l’Intelligence Artificielle (IA) appliquée à la santé.

Pendant ces deux journées, de nombreux experts interviendront, notamment :

• Christophe TRICOT, fondateur du fonds d’investissement Health Tech La Forge
• David SAINATI, coordinateur interministériel en charge de la Stratégie d’accélération santé-numérique
• Stéphanie COMBES, directrice du Health Data Hub
• David GRUSON, directeur du programme Santé LUMINESS et fondateur d’ETHIK-IA
• Cécile THÉARD-JALLU, experte pour la France dans le nouveau projet européen TEHDAS dédié à la construction du futur Espace Européen des Données de Santé, Avocate Associée au cabinet De Gaulle & Fleurance.

Retrouvez le programme complet du salon ici.

Les évènements récents en Ukraine et les conséquences qu’ils impliquent sur les approvisionnements et sur les prix ont conduit l’État à lancer plusieurs appels à projet visant à renforcer la souveraineté énergétique et alimentaire au niveau national. L’appel à projets «  Industrie zéro fossile  » vise à soutenir les démarches de décarbonation de l’industrie, avec deux types d’investissement soutenus  : chaleur bas-carbone par conversion à la biomasse et décarbonation des procédés industriels. Enfin, un guichet largement ouvert aux investissements des TPE et PME pour financer des équipements diminuant les consommations d’énergie et de chaleur sera lancé en juin et ouvert jusqu’en novembre.

Plus d’informations ici.

Lancés il y a plus de 35 ans par la Fondation Crédit Coopératif, les Prix de l’inspiration en ESS récompensent des structures de l’ESS, acteurs engagés et «  inspirés  » qui mettent en œuvre des projets utiles et socialement remarquables dans toute la région Bourgogne-Franche-Comté. Parmi les 21 candidatures reçues dans la région, les représentants des sociétaires du Crédit Coopératif ont désigné trois lauréats régionaux. Actrices de la résilience, impactantes et engagées, elles participent à une transition écologique et sociale, et à la construction d’une société plus inclusive. En Saône-et-Loire, Les petites cantines ont reçu le prix régional “Coup de cœur”. Une Petite Cantine est une cuisine ouverte sur le quartier pour créer du lien social. Tout est fait pour que, dans cette ambiance chaleureuse, un échange respectueux et bienveillant puisse se faire entre des publics très différents. Une équipe de maîtres de maison est là pour coordonner le lieu. Le soutien de la Fondation, un chèque de 1.500 euros, contribuera au financement d’investissements de matériels pour la Petite Cantine.

France Services, c’est l’ambition d’un retour du service public au cœur du territoire avec la création de guichets uniques, dédiés à l’accueil et à l’accompagnement dans les démarches administratives du quotidien. Le but de ce dispositif est que chaque citoyen puisse avoir accès à un service public à moins de 30 minutes de son domicile. Pour se rapprocher de cet objectif, quatre nouveaux espaces ont été labellisés en avril (Gergy, Pierre-de-Bresse, Salornay-sur-Guye et Sanvigne-les-Mines), portant le nombre d’espaces France Services à 42 en Saône-et-Loire.

À l’occasion du 69e congrès de l’Union nationale des entreprises de coiffure (Unec), Christophe Doré a été réélu président. Au sein de son conseil exécutif, trois icaunais ont été nommés  : Martine Michel, présidente de l’Unec dans l’Yonne, Christophe Desmedt qui a par ailleurs été élu président de la commission formation et David Martin élu président de la commission dialogue social.

Une délégation de la province de Palencia, en visite dans le Mâconnais Clunisois à l’invitation de la Fédération européenne des sites clunisiens, était accueillie lundi 9 mai par le président du département, André Accary, pour signer la convention triennale entre le département de Saône-et-Loire et la Fédération européenne des sites clunisiens. Cette signature fait suite au rapport voté lors de l’assemblée départementale du 16 décembre et acté par la Fédération le 21 mars dernier, qui consistait à l’adhésion du département à la Fédération européenne des sites clunisiens en 2022 pour la somme de 4.500 euros, ainsi qu’à l’attribution d’une subvention de 20.000 euros à la Fédération européenne des sites clunisiens pour l’année 2022. Ce soutien départemental vise à financer en partie la rédaction du dossier de candidature entre 2022 et 2024.

La Boutique Jeanne-Antide assurait jusqu’alors dans des locaux mis à disposition par la Ville de Besançon en lien avec le centre communal d’action sociale (CCAS), la restauration du midi des personnes en grande précarité cinq jours sur sept, hors jours fériés. Ces repas sont confectionnés par les cuisines de la résidence autonomie du Marulaz. Sur l’année 2021, 12.924 repas ont été servis aux personnes sans domicile fixe.

L’hiver la Boutique Jeanne-Antide propose des repas sept jours sur sept le soir, le week-end et les jours fériés, exclusivement aux personnes sans domicile fixe. Ces repas sont confectionnés par les cuisines des Sœurs de la Charité.

Depuis le 16 mars, la ville de Besançon via le CCAS a décidé de soutenir la Boutique Jeanne Antides pour qu’elle puisse augmenter les plages de restauration et offrir aux personnes sans domicile fixe, une restauration le midi sept jours sur sept tout au long de l’année, sans interruption. Ce sont environ 30 repas servis chaque samedi et dimanche.